Enfin 40 ° à l’ombre et 60 ° au soleil. C’est le meilleur vaccin contre la COVID-19.
La canicule nous l’a apporté, il nous vient du ciel avec ses rayons ultraviolets et il est gratuit : c’est ce qui dérange d’ailleurs les laboratoires qui tentent d’imposer un vaccin bricolé et qui n’a aucun résultat ou tout au moins de résultat avéré.
Et on nous dit que ce vaccin sera disponible au cours de l’année prochaine. Heureusement que la nature est bien faite. Elle a ses défauts, elle a ses antidotes. Car, si on attendait les vaccins, on serait tous morts avant !
Il faut croire que cela rapporte beaucoup quand on voit tout le tapage qui est fait autour de ces vaccins qui n’existent pas à ce jour. Ils vont se manger entre eux, ils sont une bonne centaine. Il n’y en a qu’un qui gagnera le Tour de France : c’est le soleil.
Monsieur le Président de la République, le peuple de France s’éveille et ce n’est pas un vaccin hypothétique qui assistera à l’enterrement de la COVID-19. Depuis six mois, il suffit de regarder les courbes des températures en France : on s’aperçoit qu’elles ne dépassaient guère les 30°. En une semaine, le soleil a fait dix fois plus que tous les médicaments. Et ce n’est pas seulement la chaleur mais c’est la puissance des rayons ultraviolets du soleil qui va mettre de l’ordre dans la santé des Français.
Mais attention : le soleil a, lui aussi, ses dangers. Il faut être prudent et ne pas rester trop longtemps à son exposition mais juste ce qu’il faut entre midi et 16 heures ; un quart d’heure à 20 minutes suffiront pour éradiquer la COVID-19. Le virus meurt à 60 ° et nous y sommes, en plein soleil.
Toutefois, Monsieur le Président de la République, il demeure encore quelques snippers qui se logent dans les grandes chambres frigorifiques, dans les avions charters, dans les bateaux qui accostent dans nos ports. Il y a près d’un million de chambres réfrigérées, et quand je dis réfrigérées, c’est aux alentours de 0 °, c’est le lieu de vie des virus.
Il faut coûte que coûte imposer des lampes ou des tubes à ultraviolets dans tous ces endroits y compris dans les camions frigorifiques.
On nous raconte des boniments, les urgences et les hôpitaux ne sont pas surchargés, loin s’en faut et heureusement. Et les malades de la COVID-19 se comptent chaque jour sur les doigts de la main. On nous dit qu’il y a des décès. Oui, bien sûr. D’abord ce n’est pas de la COVID-19 mais des personnes qui ont traversé, au printemps, cette pandémie ; 80 % d’entre elles sont mortes d’une pathologie, certes accélérée par la COVID-19 mais leur mort n’avait pas pour cause directe le virus.
Il est évident dans le contexte actuel que rien n’est fait pour protéger et renforcer le système immunitaire des Français. Et les pathologies multiples, dont le cancer, font ravage dans notre pays. Un système immunitaire affaibli est la véritable cause des décès. Un Français sur deux a une pathologie dangereuse et neuf sur dix chez les plus anciens. Ils sont rares ceux qui sont morts sans un pedigree de pathologies.
Il faudra peut-être y réfléchir et trouver la solution :
- pour renforcer le système immunitaire
- pour éradiquer tout ce qui peut lui nuire.
Non, il n’y aura pas de deuxième vague. C’est simplement le souhait des laboratoires. Et le soleil, en quelques jours, aura balayé devant notre porte.
Il restera à agir dans tous les endroits où le soleil ne peut parvenir et où l’on crée le froid.