Quand j’avais rencontré le Général de Gaulle, j’avais vingt ans et déjà, à l’époque, on nous appelait, mon frère et moi, les gaullistes sociaux mais on y ajoutait aisément de gauche ou de droite.
Toute ma vie, j’ai respecté le principe de persévérance que nous avait inculqué le Président Charles de Gaulle.
Aujourd’hui, le Premier Ministre est un gaulliste social. De fait, il est trop jeune pour avoir rencontré le Général de Gaulle mais sa volonté d’appliquer le concept d’un gaulliste social me paraît intact.
Mais quel est donc ce concept gaulliste ? Le concept gaulliste consiste, en économie, à accroître massivement la production pour pouvoir faire du social. L’un ne va pas sans l’autre.
Ce concept, c’est aussi savoir prendre des risques pour parvenir à un résultat d’intérêt général. Aujourd’hui, la France est touchée par un cancer, on ne peut plus produire à cause des charges sur le travail conduisant celui-ci à un coût qui ne permet plus d’être compétitif sur le plan mondial et qui, évidemment, nous prive de toutes nos exportations et conduit à une dépendance qui a éclaté au grand jour, ces derniers mois.
Transférer les charges sur le budget de l’Etat, c’est accroître le pouvoir d’achat par une baisse massive des prix de 15 à 20 % sur tous les produits et tous les services. C’est mettre fin au chômage. C’est aussi accroître les ressources de l’Etat par davantage de production et, si nécessaire, par l’augmentation de la CSG et de la TVA de quelques points. C’est ce que l’on appelle la TVA sociale payée par tous et non par un sur trois qui travaille.
Décharger le travail, c’est éradiquer le cancer qui pèse sur la France. C’est redonner au travail toute sa grandeur, pas seulement par les mots, mais par les actes.
Le concept de de Gaulle, c’est prendre les dispositions nécessaires pour sauver nos vies en arrêtant le réchauffement climatique et en permettant aux Français de vivre en pleine forme, plus longtemps, et en éradiquant aussi le cancer humain et les grandes maladies, telle une épée de Damoclès sur leur tête.
Nous en connaissons les causes ; elles proviennent toutes de la nature et la nature est si puissante qu’il importe, à certains moments, de la réguler. Toutefois, la nature possède tous ses antidotes qu’ils soient naturels ou mécaniques.
Le Général de Gaulle avait mis en place une force de dissuasion nucléaire. Aujourd’hui, il faut compléter cette force par l’éradication des causes qui tuent les Français.
Il sera difficile de convaincre le monde médical mais je suis persuadé qu’en libérant les médecins du poids des « Ordres » de la médecine, ils sauront, de par leur profession, de par leurs diplômes, de par leurs compétences, de par leur serment, apporter des solutions.
Mais les médecins et les chercheurs ne sont pas les seuls à pouvoir apporter des solutions. Je ne suis pas médecin mais je propose d’éradiquer tous les cancers et les grandes maladies par la simple régulation des variations des pressions atmosphériques et, d’autre part, d’empêcher les virus de faire des ravages en leur barrant la route avant qu’ils ne nous atteignent. Ce sera le rôle de la chaleur à 40° couplée à des rayons ultraviolets que l’on devra utiliser même dans sa voiture où l’on passe, en moyenne, une demi-heure par jour. Et ceci n’empêchera pas l’utilisation massive des couloirs sanitaires.
C’est tout cela le concept de Gaulle : oser, persévérer, apporter des solutions.
Monsieur le Premier Ministre, j’ose espérer que ce sera aussi la motivation du Président de la République.