… et toute l’économie en dépend.
Virus et cancers, médecins, architectes, ingénieurs, techniciens, n’ont pas le même dictionnaire.
Le médecin soigne et répare, comme un garagiste, à l’aide de techniques nouvelles et électroniques. L’ingénieur évite et détruit la cause en régulant les phénomènes naturels nocifs.
Les virus et les cancers ne sont pas de la compétence des médecins. Les virus et les cancers ont pour origine ou pour source des actions extérieures au corps humain mais toujours en provenance d’un phénomène naturel ou artificiel.
Le virus transite par des incubateurs et par des lieux de vie qui lui sont favorables. Le cancer provient des variations des pressions atmosphériques.
Ce n’est pas de la compétence de la médecine de régler le problème de ces pandémies.
C’est le problème des ingénieurs, des architectes, qui vont en amont déceler les causes et apporter les solutions.
Le virus est du ressort d’un ingénieur de l’environnement qui se doit de construire ou de déconstruire les fondations de l’immeuble que constitue le cancer.
Non, les médecins n’ont pas le monopole de la vie et les responsables politiques feraient mieux de s’adresser à la mort qu’aux médecins s’ils ne veulent pas comprendre que les pandémies sont du ressort des ingénieurs et des architectes.
Nos ingénieurs et nos architectes doivent s’imprégner des causes et trouver les solutions, et elles existent. Les techniciens se doivent de mettre en application les solutions.
Tout ceci n’a rien à voir avec la médecine. Le médecin n’intervient qu’après l’accident.
Il va soigner et tenter d’éviter la mort ; il n’y réussit pas toujours, d’ailleurs, et loin s’en faut.
Non, médecins, ingénieurs et architectes n’ont pas le même dictionnaire. Chacun doit rester dans son cadre et les moutons seront bien gardés. Ils doivent tous se mettre à la disposition de ces chantiers si l’on veut mettre fin aux sources en éradiquant les causes des virus et des cancers.
Fendre le rocher de la cause est parfois plus simple que d’imaginer des vaccins hypothétiques. Malheureusement, on a plutôt choisi d’affaiblir l’homme avec des médicaments.
Que dirait-on de quelqu’un qui voudrait arrêter un feu de forêt avec une bouteille d’eau ?
Il en est de même pour le vaccin. On n’arrêtera pas la pandémie avec le vaccin ; au moins, sur ce plan-là, tout le monde est d’accord. Pour arrêter une pandémie ou un feu : il faut les prendre à la base pour les cerner. Et quand le vent souffle un peu trop fort, c’est toute la forêt qui s’embrase : il en est de même pour les virus. Nous en connaissons tous les causes aujourd’hui.
Quand on veut tuer un adversaire qui veut vous faire la guerre, il faut lui couper ses ressources financières. Pour les pandémies, il faut détruire la cause. La nature est si bien faite qu’elle a toujours la solution.
Non, Messieurs les médecins, vous n’avez pas le monopole de la vie.
Et quand je vois le pouvoir politique se conseiller auprès des Conseils Scientifiques, je me demande ce qu’il cherche.
Un chef de guerre doit écouter les rapports de son état-major mais c’est lui qui doit prendre les décisions, sans aucune influence. C’est ce que les Français attendent de Monsieur Macron.