Nous sommes nombreux à croire que l’on sait tout. En fait, on ne sait rien ou si peu, et il faut l’accepter. Il faut regarder, constater, apprendre, les fondements de notre vie. Ce n’est qu’ainsi que l’on pourra mieux vivre, plus longtemps et en bonne santé.
Tout savoir est une utopie
Tout savoir n’est qu’un rêve sans lendemain et pourtant on dit toujours qu’il faut aller au bout de ses rêves. Connaître, savoir, rend heureux et donne envie d’en savoir davantage.
Il y a ceux qui veulent tout savoir pour leur ego et il y a ceux qui veulent tout savoir pour transmettre. Et enfin, il y a ceux qui veulent tout savoir pour imaginer, pour construire, pour développer, pour protéger, et parfois défendre l’impossible d’aujourd’hui qui sera la réalité de demain.
Il faut sans cesse persévérer ; c’est la devise que m’a donnée le Président Charles de Gaulle quand je l’ai rencontré. Et ce, au risque d’être pris pour un fou mais, dans la folie il y a souvent l’impossible d’hier et le possible de demain.
Il y a ceux qui cherchent sans accepter le constat du visible et parfois de l’invisible, voire de l’imaginaire qui construit souvent la réalité de demain.
Nous sommes des électrons qui se promènent et rencontrent au passage d’autres électrons qui, regroupés, font la vie.
Nous ne sommes pas grand-chose sur cette Terre mais c’est souvent avec très peu de choses que l’on prépare les grands chambardements de l’avenir, souvent en bien, parfois en mal.
Pour les jeunes d’aujourd’hui, les soucoupes volantes seront une réalité dans peu de temps et elles leur permettront d’aller encore beaucoup plus loin rejoindre d’autres galaxies.
En fait, il y a la persévérance, il a l’espérance et il y a le travail heureux et sans fatigue. Nous sommes des êtres finis, limités, qui ne pouvons tout savoir car le savoir c’est l’infini. Et cet infini n’est pas sur le marché du savoir.