Sommes-nous bien sûrs que les anticorps qu’on nous injecte et qui meurent au bout de quelques mois, ne viendront pas s’ajouter aux millions de cellules tuées par la pression atmosphérique, et qui iront se loger dans les mêmes nodules que les nodules cancéreux ? En un mot, sommes-nous certains que ce que l’on nous injecte contre les virus n’accélèrera pas les cancers ?
Quand arrêtera-t-on de détruire l’homme alors que l’on a d’autres moyens pour arrêter, pour éradiquer, le virus avant qu’il n’atteigne l’homme ? Il y a là une contradiction telle, que je me pose la question : est-on devenu fou ?
Folie, folie, direz-vous ! Je ne propose qu’une chose, c’est d’appliquer à la lettre le serment d’Hippocrate. On l’a bien enterré, Hippocrate, et on l’a oublié..
Ne me condamnez pas si vite. L’argent est une arme redoutable contre l’homme. Il faut raison garder. Et, dans le pire des cas, le moins que l’on puisse faire, c’est de tenter au moins ce que l’on propose pour éviter que le virus n’atteigne l’homme.
Est-ce condamnable ? Ou est-ce de l’insolence ? Ce que je propose, c’est le seul chemin qui aura un résultat à 100% et définitif. C’est aussi le chemin qui conduira au bon sens et à l’évidence.
Prendre le chemin de la peur ne conduit qu’à s’emparer des âmes des gens.
Ce n’est pas l’hôpital qui s’écroule
Non, ce n’est pas l’hôpital qui s’écroule, c’est notre incompétence à prendre les bonnes décisions. Que ce soit pour les virus, que ce soit pour les cancers, c’est une honte. L’hôpital n’est pas fait pour recevoir les fruits véreux imposés par les scientifiques. L’hôpital est destiné à soigner l’accident.
De même que le nucléaire a bouleversé nos ressources énergétiques, et le fera encore davantage demain, utiliser les antidotes de la nature, c’est le moins que l’on puisse faire pour compenser ses effets néfastes.
Toujours davantage d’hôpitaux n’est pas la solution pour une bonne santé, c’est d’éviter d’être malade. Il importe de développer les moyens naturels que nous connaissons. Ce sont les ultraviolets, pour le virus, c’est la régulation des pressions atmosphériques pour les cancers.
Il n’est pas utile d’aller chercher plus loin des produits qu’on va nous injecter sans être certain du résultat. Il ne s’agir pas seulement de détruire un virus par ces produits mais il faut aussi éviter de créer d’autres problèmes qui pourraient nous conduire au cancer par l’adjonction des anticorps qui meurent tous les six mois et qui vont s’ajouter aux cellules mortes, dans les nodules cancéreux.