Le cancer, c’est huit décès pas jour et par département. A ce jour, la COVID-19, c’est un décès par jour pour deux départements. C’est toujours trop, pour l’un comme pour l’autre.
Mais, le cancer, on s’y est habitué et la COVID-19, on nous dit qu’il va falloir vivre avec. On a tout faux. Non, je dis non, on ne s’y habituera pas ni à l’un, ni à l’autre.
Je peux comprendre que le chercheur ne trouve pas la cause car en fait, une fois la cause trouvée, cela n’arrange personne et encore moins les laboratoires et loin sans faux : la maladie, c’est leur fonds de commerce.
Quand j’annonce que j’ai trouvé la cause et la solution pour le cancer ainsi que la solution pour le COVID, on refuse l’évidence car la vérité est trop économique, trop visible, trop flagrante. Les morts arrangent bien tout un circuit économique, d’avant et d’après la mort.
Chercher la cause est peut-être davantage due au hasard mais tellement plus efficace. Et, pour me déstabiliser, on me dit « il faudra bien mourir un jour » ; c’est vraisemblable ! Mais mourir à 120 ou 130 ans, ce n’est pas la même chose que de mourir à 50 ans. Mourir à 120 ou 130 ans est un challenge qui est à la portée de l’humanité.
On me dit et on m’oppose que l’économie devra être remise en cause. Mais, au grand dam de certains, je n’ai pas l’habitude d’attendre et de voir venir. J’ai l’habitude, quelle que soit la difficulté, de résoudre le problème et d’apporter au peuple la liberté économique et la liberté sanitaire. Etre libre de vivre sans contrainte, sans maladie, me paraît être un challenge plus ambitieux.
Je vous demande d’y adhérer : vivre plus longtemps en pleine forme, sans souffrances, sera ma devise.