La réglementation funéraire en Afrique, c’est le soleil qui la crée avec les religions et la tradition. En Afrique, hormis l’Afrique du Sud et le Cameroun, il y a peu de chambres funéraires et très peu de crématoriums en raison de la religion musulmane qui y est largement majoritaire.
Comprendre la réglementation funéraire en Afrique c’est comprendre les traditions
Une personne décédée le matin dans le pays sera enterrée avant le coucher du soleil et, en général, sans cercueil, excepté pour les chrétiens pour qui l’utilisation du cercueil existe, mais c’est encore l’exception. En revanche, en Afrique la mort occupe une place importante et le cérémonial dure plusieurs mois, voire plusieurs années. C’est l’occasion de mise en oeuvre de cérémonies où les dépenses sont conséquentes, amenant les familles à s’endetter sur de longues années.
En Afrique, les vieux ont véritablement une place importante au-delà même de cette réglementation funéraire. Ce sont d’ailleurs les enfants et les vieux qui sont sacrés.
En France, une personne de plus de 80 ans, hormis son bulletin de vote, ne sert plus à grand-chose socialement. C’est ainsi !
Ce que nous demandons pour les espaces cinéraires et la sublimation, ne peut qu’apporter un plus à ceux qui nous quittent pour le grand voyage.