C’est ce qui est en train de se produire en Occident.
L’Afrique envahit l’Europe, Le Mexique envahit les États-Unis, l’Orient détruit nos industries et, le comble de tout ceci, c’est que l’Allemagne s’accapare aussi de l’industrie française.
De plus, en France, nous formons les ingénieurs, les génies, les premiers de promotion, qui quittent la France pour l’Allemagne, pour le Chine, pour les États-Unis. Ils créeront les armes de demain, les techniques d’avenir. En France, ils ne sont pas suffisamment payés.
Ne rêvons pas, il restera l’ENA, avec sa politique de clan, sa politique de partis, pour administrer les décombres de la France.
Le social, en France, est tel qu’il est la cause de tous nos maux et, en plus, il est à bout de souffle pour son financement.
Les esclavagistes d’hier deviennent les esclaves d’un système qui va nous faire perdre notre liberté.
Notre indépendance ! Nos armées ne pourront, ni arrêter, ni détruire l’envahisseur de l’Orient. Elles ne pourront pas non plus arrêter les virus ; elles ne sont pas formées, à ce titre, pour le combat.
On espérait que la science serait là pour nous défendre mais : quelle déception ! En fait, c’est l’orgueil qui va nous perdre. On se croyait les plus grands, les plus forts, et on a oublié la nature, la simplicité, de tout ce qui peut être réalisé.
Faire des riches de nouveaux pauvres, n’est pas la solution. La totalité des fortunes, en France, ne couvrira pas la moitié de la dette.
En fait, pour nous en sortir, nous allons devenir des esclaves, faute d’avoir des dirigeants qui auraient l’honneur de sauver la France.
En refusant l’évidence, pour le sanitaire, pour l’économie, on s’est passé les menottes au poignet. Le travail ne suffit plus dans les conditions actuelles. On n’a même pas redonné au travail son honneur, sa fierté. On a pensé que les scientifiques étaient des dieux. En fait, on a trouvé des diables.
Je ne prétends pas être l’homme universel mais les trois réacteurs que je propose : social, sanitaire et économique, peuvent redonner à la France sa fierté, son indépendance, sa liberté.
Je n’accepte pas de devenir un esclave et j’y mettrai le prix si nécessaire. J’espère tout de même qu’il ne faudra pas en arriver à une révolution telle qu’on l’a connue en 1789.