Il serait étonnant que le cancer n’emporte pas Poutine avant la fin de cette année ou, tout du moins, ne le rende inactif.
Et, d’ici la fin de l’année, l’Ukraine aura repoussé l’arme russe en dehors de ses frontières.
La mort l’emportera et on se demandera pourquoi tant de morts ! Tant de blessés ! Tant de destruction à cause d’un mort-vivant.
Vladimir Poutine aura-t-il encore toute sa tête pour entraîner son pays dans une telle défaite ? Il aura perdu le Donbass et la Crimée ainsi que tous les territoires qu’il aura occupés le long de la mer Noire.
Il aura été un petit Napoléon russe mais il ne restera guère dans l’histoire.
Quant au peuple russe, après une cinglante défaite, il commencera à connaître la vérité et basculera dans le bon sens. Les Russes veulent la paix dans leur pays.
Vivre sous une ligne à haute tension
Aucun être humain ne peut vivre réellement sous une ligne à haute tension de 300 000 à 1 million de volts.
Et pourquoi est-il difficile de vivre sous une ligne à haute tension ou à ses abords ?
Dans ces lignes à haute tension circule une puissance électrique selon la formule P= UI ; « P » représente la puissance, « U » représente le voltage, « I » représente l’intensité.
Notre cœur ne fonctionne et bat que grâce au magnétisme produit par la Terre, ce qu’il ne faut pas confondre avec l’attraction terrestre. C’est le voltage de la ligne à haute tension qui provoque ce magnétisme et c’est l’intensité qui provoque la déperdition par la chaleur.
Si l’effet calorifique provoque une déperdition de la puissance, l’effet magnétique agit dans un rayon de 500 mètres, de part et d’autre de la ligne. Ce champ magnétique est contraire au champ magnétique de la terre : il s’y oppose, provoquant des problèmes importants sur la fonction cardiaque d’une personne qui se trouverait dans cette zone.
Il en est de même quand vous avez une antenne au-dessus d’un château d’eau : elle provoque aussi un magnétisme capable de mettre en cause nos systèmes vitaux. De nombreux cas ont été recensés.
La nature est également troublée sous ces lignes à haute tension : aucun animal n’y vit, pas davantage d’ailleurs qu’un oiseau va se percher dessus. D’ailleurs, l’EDF le sait parfaitement.
Ainsi va le conflit entre la vie et l’énergie telle qu’actuellement produite dans d’immenses centrales nucléaires. C’est pourquoi je demande d’urgence que soient construites des mini centrales nucléaires qui ne nécessiteront aucune ligne à haute tension et dont l’énergie sera distribuée dans un rayon de quelques km, en basse tension, par des câbles qui pourront être enterrés.
Faut-il encore accepter que notre cœur bat comme un métronome ou comme un moteur électrique qui tourne, grâce à un champ magnétique, ce qui est une évidence.
L’école, avez-vous dit !
Ce n’est pas l’école, ni les programmes, qu’il faut réformer :C’est la formation spécifiques des professeurs qui doit donner l’envie aux enfants d‘apprendre par un enseignement plus attractif, plus visible, sur l’utilité de ce qu’on a envie de leur apprendre.
Ce processus est valable dans toutes les matières, ce sont le Français, les mathématiques, les langues étrangères, l’histoire du passé et du futur. Il faut savoir que ce qui était hier n’est plus aujourd’hui et ne sera plus le même demain.
Alors, pour nos enfants, n’est-il pas préférable d’oublier le passé qui n’est qu’un outil, et leurs apprendre le présent et le futur sur des connaissances qui évoluent à la vitesse de l’éclair ?
L’école doit former au futur ; le passé ne doit servir que de tremplin et d’outil de travail. Faut-il encore que les professeurs soient à la même page et surtout à la page d’un livre qui n’est pas encore écrit.
Il faut donner à nos enfants une formation qui puisse être profitable pendant au moins quelques années et il faut instaurer la formation continue si l’on veut pouvoir être encore utile dans dix ou vingt ans.
Nous avons une terrible responsabilité.
Aujourd’hui, on essaie d’apprendre le minimum pour avoir un laisser-passer qu’on appelle diplôme. Mais le diplôme de quoi ? Je ne suis pas certain qu’il s’agisse d’un diplôme du savoir…