C’est parce que l’on ne cherche pas à se remettre en cause et à s’informer des techniques nouvelles et futures.
Mais c’est aussi parce qu’on s’abandonne aux dérives des constantes de la vie.
C’est à l’Etat d’apporter la formation ainsi que la capacité physique et intellectuelle à tous les Français.
Avec une durée de vie de 180 ans et plus, la donne sera différente. La formation continue, la conservation de ses facultés physiques et intellectuelles, c’est du devoir de l’Etat, des entreprises mais aussi de tout un chacun.
La médecine n’a jamais cherché à éviter les variations des constantes de la vie. On a l’impression que la médecine, avec ses privilèges et son monopole, a surtout conservé son fonds de commerce.
La médecine est parvenue à réduire la souffrance mais pas la cause. On a souvent l’impression que la médecine fait partie d’un autre monde et qu’elle ne cherche surtout pas à se remettre en cause.
Ne baissons pas les bras. C’est à nous de profiter de la vie et non à la médecine. Arrêter de travailler, c’est arrêter de vivre.
Dire aujourd’hui qu’on peut vivre beaucoup plus longtemps n’est pas du tout dans le registre de la médecine, la médecine profite de la vie et ne cherche pas à la protéger.
C’est ce qui conduit, au tôt ou tard, de 40 à 60 ans, à ne plus être dans le coup de l’économie.
On a décidé, une fois pour toute, que le cycle de la vie se situait entre 80 et 100 ans. Mais de quel droit ? L’homme peut vivre et travailler beaucoup plus longtemps, en respectant les constantes de la vie.
Améliorer l’outil de travail
Il faut toujours améliorer le poste et l’outil de travail mais il est tout aussi important de maintenir et de développer la dextérité de ces salariés aux commandes de l’outil.
Mettre un terme à la fatigue ; totalement ou partiellement, est un problème de santé qu’il nous convient de modifier.
On dépense des sommes folles à la construction de l’outil mais très peu pour la santé de celui qui va s’en servir. Il ne faut pas que ce soit la machine qui utilise l’homme mais c’est à l’homme d’utiliser la machine par sa capacité physique et intellectuelle.
Ce n’est pas le travail qui tue l’homme et le rend inutilisable, c’est l’absence du maintien des constantes de la vie et ce, quel que soit le travail. On prend toujours les problèmes à l’envers.
La vieillesse est aujourd’hui une maladie à laquelle on peut apporter des solutions techniques de santé en régulant les variations que ne peut supporter l’homme.
Ma découverte, ou plutôt mon constat, n’a rien d’exceptionnel. Il fallait simplement y penser. C’est chose faite. Apporter un mieux vivre, en pleine forme, très longtemps tout en produisant 2 à 3 plus, sans fatigue, n’est plus un tabou.
Ne pensez-vous pas qu’il faille perfectionner les possibilités de la machine humaine avant même que l’on ne perfectionne l’outil de travail ? Ce sont les capacités de l’homme qui doivent primer sur les capacités d’un outil si utile soit-il