- Parce qu’il coûte dix fois moins cher que l’uranium
- Parce qu’il est partout dans le monde et que les réserves en sont pour mille ans encore devant nous
- Parce qu’il ne produit que peu de déchets et qu’il ne nécessite pas une installation au bord d’une rivière car le refroidissement se fait à sels fondus ; il peut donc être utilisé en plein désert
- C’est le produit réactif, c’est l’énergie de demain que l’on utilisera dans des minicentrales et des microcentrales nucléaires
- C’est l’énergie que tout un chacun utilisera demain pour produire sa propre énergie.
L’objectif est de supprimer toutes les déperditions qui existent aujourd’hui avec les immenses centrales nucléaires. Cette déperdition n’est pas de quelques pour cent, elle varie de 60 à 80% de l’énergie produite.
C’est le seul produit qui permettra de diviser le prix du KW par dix.
Et encore, à ce jour, on n’utilise même pas nos découvertes : les résidus actuels du nucléaire pourraient être détruits par les rayons lasers. On n’a même pas encore adopté en France ce procédé et c’est pourtant un prix Nobel de physique français qui l’a découvert.
Le thorium, c’est notre énergie de demain, c’est aussi notre indépendance énergétique car l’uranium se fait rare et il est donc très cher. Et si aujourd’hui nous sommes au Niger, avec nos militaires, c’est aussi pour protéger les mines d’uranium… et tout ceci coûte très cher.
Je vais être méchant : toutes les énergies actuelles, les éoliennes, les panneaux solaires, etc., ne pourront être que des gadgets dans l ‘économie de demain car l’économie de demain va se livrer à une concurrence acharnée. Et dire que demain il faudra produire moins et consommer moins est un rêve !
Croire que l’on vivra mieux dans un monde sans ressources, n’est certainement pas écologique… !!!
Être écologiste n’est pas…
Être écologiste n’est pas de refuser toutes les technologies et encore moins dans le secteur sanitaire.
Vivre en vase clos n’a jamais apporté de bien-être car vivre en vase clos conduit à la mort comme une mouche emprisonnée dans un verre renversé.
Ce n’est pas cela l’écologie : l’écologie doit apporter un plus à l’homme. Certes, elle doit combattre la pollution, certes, elle doit combattre le réchauffement climatique mais ce doit être aussi et surtout de conserver l’homme en pleine forme et en organisant, en régulant, en éradiquant, tout ce qui peut nuire à sa santé.
Il n’y aura pas de miracle sans appliquer les mesures nécessaires au plan économique et au plan sanitaire. Je n’ai jamais entendu, jusqu’ici, les écologistes proposer un plan pour apporter à l’homme une vie en pleine forme et une vie plus longue. En écologie, aujourd’hui, on se contente de ce qui est et de ce qui pourrait être mécaniquement ; ce n’est pas suffisant.
Il faut aborder les problèmes en utilisant l’hydrogène pour tout ce qui est domestique. En prévoyant les microcentrales nucléaires de demain qui permettront à chacune de produire sa consommation, il faut s’attaquer aux déserts pour limiter le réchauffement climatique et pour donner aux populations limitrophes des déserts, une nouvelle vie qui évitera l’émigration car, quand on se trouve bien chez soi, on ne va pas chercher ailleurs de quoi faire vivre sa famille.
L’écologie, c’est tout cela, ce n’est pas du bricolage.
Dans l’écologie, telle qu’on le voit aujourd’hui, l’économie n’a pas de place. On vous dit qu’il faut produire moins … mais comment peut-on parler ainsi quand on sait que d’ici cinquante ans on sera 12 milliards d’habitants sur cette planète ; il faudra bien nourrir tout ce petit monde et lui donner une raison de vivre, et en pleine forme et longtemps !
C’est comme pour tout : il faut d’abord créer l’envie et pas seulement des politiques absurdes, sans compter que celles que l’on propose, on ne les réalise pas.
Être écologiste n’est pas de prendre le pouvoir, il est d’exiger le pouvoir que l’homme passe avant toute chose et que toutes les autres considérations politiques soient peu de choses si l’homme n’en est pas au centre.