Une erreur qui pourrait mal se finir.
Cette potion dite vaccin :
- n’immunise pas
- n’évite aucune contagion
- n’évite pas d’être contagieux.
Bien sûr, on trouvera beaucoup de raisons pour justifier un vaccin qui n’en est pas un en parlant sans cesse de mutation du virus.
Mais si on éradique le virus, il n’y aura plus de mutation, il n’y aura plus de contagion et l’on ne sera plus contagieux.
La répétition d’une prétendue vaccination conduit à s’enfoncer dans l’erreur scientifique. Je propose une solution technique, technologique, pour mettre fin à la pandémie, et au moindre coût. La proposition que je fais n’entravera en aucun cas la santé des Français pour la bonne raison que l’on ne touchera en aucun cas au corps humain.
Soignants, Français, Françaises, il faut que nous nous élevions contre la méthode utilisée. Je dis oui à un vrai vaccin, oui à une solution technique ou technologique, non à la pire des solutions quand on se sert de l’homme comme d’un cobaye.
Vous osez dire que l’on ne joue pas avec la santé !
Croyez-vous vraiment ce que vous dites ? Croyez-vous vraiment que l’on puisse vivre avec un virus ou avec un cancer, et si cela est une bonne santé, il faut le dire !
Je peux comprendre qu’en Afrique, on vive avec le palu parce qu’on n’a jamais vraiment cherché la cause du palu.
Mais en France, on ne fait pas mieux en refusant de détruire la cause que nous connaissons et contre laquelle nous avons tous les moyens de destruction, mais pas la volonté de le faire. Et vous me dites que l’on ne doit pas jouer avec la santé : n’est-ce pas plutôt protéger le fonds de commerce du médical qui a explosé en deux ans ? Il devrait être interdit de vendre un prétendu vaccin qui n’apporte pas une immunité d’au moins dix ans. Les potions magiques qu’on nous injecte contre le virus semblent avoir une durée très limitée car on nous dit qu’au bout de trois mois le vaccin injecté n’aura plus qu’une incidence de 20%.
Et vous me dites qu’il ne faut pas jouer avec la santé !
Monsieur le Président, on ne peut pas éternellement jouer avec la santé comme vous le faites ou, plus exactement, comme les scientifiques vous l’imposent.
Il en est de même pour la grippe, il en est de même pour le cancer.
Et ce, quel que soit le virus qui apparaîtra, la solution d’éradication s’imposera.
Ce que je propose n’est pas la négation mais une solution positive et immédiate pour laquelle aucun médecin ne peut dire le contraire. La solution d’aseptiser tous les locaux clos est une obligation.