On dit : « le travail, c’est la santé »

Dire que le travail, c’est la santé, montre à quel point on peut se tromper et s’enrichir indûment.

L’évolution du temps nous permet de dire aujourd’hui que la santé, c’est le travail. Pas de travail sans une bonne santé.

La santé est un monument qu’il faut entretenir.

On a déjà fait des progrès en créant l’habitat qui permet de se protéger de la pluie, du vent et des tempêtes. Bien équiper cet habitat permet de réguler la température de l’espace de vie, et l’on se met aussi à l’abri des rayonnements.

Il fut un temps où on vivait dans des cavernes pour s’abriter des bêtes sauvages mais aussi de la pluie et du vent. La lumière n’y pénétrait pas et ce fut un grand progrès de constituer un habitat.

Aujourd’hui, dans les immeubles en béton armé, on s’est aussi protégé du magnétisme. On a donc déjà résolu le problème de quelques constantes, piliers de notre vie.

On a fait un bout de chemin, il demeure cependant l’influence des acteurs invisibles et non ressentis mais destructeurs, jour après jour, de notre système immunitaire.

Le régulateur que j’ai inventé permettra de le pallier.

La santé est un mot qu’on oublie souvent de protéger et pourtant, nous savons le faire.

Il faudra m’expliquer pourquoi on ne le fait pas, pour une vie très longue et en pleine forme !

La liberté de vivre, tout simplement

C’est un droit constitutionnel, c’est un droit de la Charte des Droits de l’Homme.

Pouvoir vivre longtemps et en pleine forme : rien ne l’interdit. Vivre longtemps et en pleine forme, nécessite de s’attaquer aux dérives de la nature.

Cette liberté de vivre, de conserver notre jeunesse et toutes nos facultés, n’est plus un rêve, c’est une réalité.

J’ai peine à croire que la médecine de plusieurs siècles n’ait pas suivi l’évolution des techniques mécaniques, elle s’est simplement servie de la mécanique pour soigner mais pas pour éviter. Et pourquoi !

Ce que je fais n’est que conforme à la nature humaine : protéger ses constantes est un devoir. Rien ne nous oblige, aujourd’hui, à supporter les dérives d’une nature en folie et meurtrière.

Je ne puis me résoudre à une soumission : c’est cela ma liberté.

Un simple régulateur va y pourvoir.

Adieu nos souffrances, adieu notre vieillesse. Je ne connais pas un seul être au monde qui se soit déjà posé la question. Alors, à nous de faire le plus simple qui a été oublié par la médecine.

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