Sur six mois, on nous dit qu’on a appris à connaître les virus. C’est terrible d’entendre parler ainsi car les virus ne sont pas d’aujourd’hui. Les a-t-on oubliés à l’Ecole de Médecine ?
Si à chaque fois qu’il y a une maladie ou, pire encore, une maladie existant depuis des siècles, il faut 30 000 morts pour mieux savoir ? C’est effrayant d’être à ce point négligent. Ne pensez-vous pas qu’il y ait une faille dans notre système de médecine universitaire ? C’est bien de savoir peut-être mais pas à ce prix-là.
Mais, plus grave encore, les pontes de la médecine, en commençant par l’OMS, nous annoncent depuis trois mois, une nouvelle vague. Et, en fait, nous n’avons qu’un clapotis. Il y a aujourd’hui bien moins de morts qu’au mois de juillet. On a fabriqué le coronavirus par des tests.
Dès qu’il y a quelqu’un qui ose dire que l’on peut résoudre ce problème d’une manière quasi naturelle ou, en tout cas, mécanique, comme toujours il devient la risée du monde médical. C’est ainsi que la vérité progresse et devient l’évidence. Mais à quel prix ?
Nous avons aujourd’hui pratiquement un million de morts dans le monde. Mais combien en faudra-t-il pour qu’on accepte d’autres méthodes, je dirai même une méthode, une solution, que le médical ne nous a pas fournie ?
Non, dans le monde et en France spécialement, on veut soigner plutôt que d’éviter. Soigner rapporte gros, éviter ne rapporte rien. Et on ose venir nous dire qu’on a appris à connaître : mais qu’est-ce que vous avez appris à connaître ?
Car toutes les méthodes que vous utilisez aujourd’hui étaient déjà dans la nature. L’oxygène est la source de vie : ne croyez-vous pas qu’on aurait pu y penser avant ? L’oxygène à 35 ° est deux fois plus puissant qu’à 18 °.
Les rayons ultraviolets qu’utilisent les chirurgiens dans les salles d’opération, ce n’est pas d’hier, vous n’avez pas eu besoin d’apprendre à le connaître. Le soleil nous bombarde de rayons ultraviolets, on n’en meurt pas. Mais, plus grave encore, plutôt que de soigner, on aurait pu apprendre à éviter.
Les causes du virus, on les connaît car on l’a fabriqué. Alors, qu’on ne s’étonne pas qu’en jouant aux apprentis sorciers, on se brûle les doigts. Et aujourd’hui, ce ne sont pas les apprentis sorciers qui sont morts, c’est toute une population.
Combien de temps faudra-t-il attendre que le bon sens, que l’évidence, prennent le dessus sur les apprentis sorciers ? C’est terrible mais c’est réel. J’ai quelques fois honte pour ceux qui disent savoir et, en fait, ne savent rien ou plutôt qui savent bien, eux, se faire de l’argent. Ce n’est plus une école de médecine, c’est une école de commerce.
Monsieur le Président de la République, vous avez envisagé de supprimer l’ENA, de grâce supprimez d’urgence tous les Conseils Scientifiques qui sont non pas des médecins mais des apprentis sorciers.
Il faudra apprendre à utiliser la nature et la vie et laisser la chimie au fond des tiroirs.