Vivre avec le virus est une défaite cinglante que tout Français, digne de ce nom, ne peut accepter.
Nous tuerons, jusqu’au dernier, les virus qui prétendent mettre en berne notre drapeau et notre liberté.
Monsieur le président, aujourd’hui nous sommes en mesure d’utiliser l’arme qui nous apportera la victoire, avec ou sans vous. Les industriels de tout bord, les patrons de la grande distribution ont accepté de s’équiper pour tuer l’occupant, dans l’intérêt de leurs clients.
Il en sera de même des propriétaires de salles de spectacles quelles qu’elles soient. Ils savent tous, à présent, que pour retrouver leur liberté et ceux avec qui ils travaillent, il faut accepter, sans difficulté, de s’équiper de l’arme fatale. Les rayons ultraviolets s’adaptent à chacun d’entre nous.
Monsieur le Président, ne cherchez surtout pas à entraver notre solution efficace à 100%.
Votre rôle, à présent, est simplement de convaincre les autres pays, européens et autres, d’utiliser cette arme fatale pour éradiquer les virus, l’ennemi, l’occupant.
Vous ne ferez plus jamais d’économie, Monsieur le Président, tant que la peur et le doute existeront dans la population.
CE N’EST PLUS LA FRANCE
« La liberté des uns s’arrête à partir du moment où commence la liberté des autres » : ceci est faux en période de guerre.
En période de guerre, les libertés ne suivent pas le même chemin qu’en temps de paix.
Il est nécessaire de mettre sur la table tous les moyens pour éradiquer l’occupant ; c’est la stratégie qu’il faut reconnaître et appliquer. Il n’est pas un scientifique au monde qui reconnaît à la vaccination cette possibilité.
En temps de guerre, c’est la liberté tout court qu’il faut défendre, c’est la victoire qu’il faut gagner, c’est le virus qu’il faut soumettre, un virus d’une autre civilisation mais que nous pouvons combattre.
Il ne faut pas inverser les rôles, la liberté l’exige ; il faut tuer l’occupant.
Et ce n’est pas avec les parodies actuelles qui nous sont imposées qu’on y parviendra. Il nous faut, nous tous, tout Français quel qu’il soit, nous mettre en chasse pour retrouver notre liberté.
La guerre est l’arme de tous pour gagner, en détruisant l’ennemi et non en le subissant au détriment de notre économie. Il est insupportable que, détruire cette liberté qui a déjà été acquise au prix du sang versé par beaucoup de nos concitoyens, puisse être maintenu par une simple erreur de stratégie.
Il nous faut revenir à l’offensive, c’est ce que je proposerai au conseil de la résistance si l’on persiste dans une stratégie qui a fait déjà 120 000 morts en France et 4 200 000 dans le monde.
Nous ne pouvons accepter aucune demi-mesure.
Le dispositif à ultraviolets est l’arme redoutable qu’il nous faut imposer. Se protéger des virus n’est pas suffisant si l’on veut vivre en liberté.
On ne gagne pas la guerre par la défensive d’autant plus que la solution proposée aujourd’hui est une promenade de santé pour le virus.
Nous n’accepterons pas la collaboration, Monsieur le Président ; nous ne vivrons pas « avec » le virus car nous avons l’arme pour le détruire.
On viendra me dire que c’est impossible. Non, Monsieur le Président, je fais simplement ce que d’autres, en d’autres temps, on fait avec panache.
