La liberté funéraire est une source qu’il faut protéger si on veut conserver sa pureté. La liberté funéraire a été difficile à obtenir ; elle sera encore plus difficile à conserver. J’ai eu l’occasion d’expliquer comment elle a été acquis de haute lutte. C’est l’objet de notre combat pour le secteur des pompes funèbres tel que nous le souhaitons pour les familles de France.
Une liberté funéraire acquise de haute lutte
Michel Leclerc : “Je sais, plus que n’importe qui, les difficultés que j’ai eues pour rendre aux Français la liberté funéraire.
J’ai été seul, très seul, devant les tribunaux. J’étais seul pour financer le coût de cette liberté.
Je ne laisserai pas des spéculateurs s’en servir comme d’un jouet et encore moins d’une source que l’on tarit en voulant remettre en place un monopole et, qui plus est, en se servant des familles lâchement et par tromperie.
Il faut impérativement mettre fin à ces rapaces qui ne s’attaquent qu’à plus faibles qu’eux.
Ils sont nuisibles dans l’espace funéraire.
Je n’ai pas rendu la liberté aux familles pour qu’aujourd’hui elles soient littéralement remises dans les griffes des spéculateurs.
On ne peut laisser impunément violer toutes les règles, acheter les corps à peine décédés que ce soit dans certains hôpitaux, dans certaines maisons de retraite, dans certaines cliniques : le problème est le même.
J’étais parvenu à limiter ce scandale mais, décidément, la spéculation fait rage dans le funéraire.
La direction de la Concurrence et des prix a bien du mal à intervenir et pourtant c’est bien son rôle quand il s’agit surtout de défendre des gens en position de faiblesse.
Je demande, une fois de plus, à l’Etat d’intervenir rapidement s’il ne veut pas en être tenu pour complice.
Toutes ces pratiques provoquent une hausse illégale des prix de près de 30% dans le domaine funéraire.
Non ! La guerre funéraire n’est pas finie tant que mon fils Florian LECLERC et moi-même, serons là pour lancer les alertes dans le seul but de protéger les familles.”