Mener deux guerres à la fois sur des fronts différents, c’est beaucoup pour un seul homme qui n’a pas le don d’ubiquité.
Il y a la guerre sanitaire et il y a la guerre économique. D’ailleurs, n’est-ce pas la même guerre ou tout du moins les mêmes agresseurs ? La Chine a déréglé tout le système économique occidental, le virus a mis à genou l’économie occidentale.
Rien ne servira de mettre un deuxième genou à terre pour pleurer les morts. Il faut se relever et neutraliser l’ennemi quel qu’il soit.
La Chine nous a vendu un virus à pas cher comme elle nous vend des produits pour détruire notre industrie. Le virus nous est arrivé peut-être par les voyageurs mais aussi peut-être par les airs, par des vents d’Est.
Ce virus est invisible mais il n’est pas immortel. Le virus nous vient du froid et l’été nous a prouvé que la chaleur et les rayons ultraviolets que le soleil émet, avaient réussi à anéantir le virus.
Aujourd’hui, le virus s’est réveillé ; il s’était réfugié là où il faisait froid dans les espaces réfrigérés par l’homme. On n’a pas voulu me croire, on n’a pas voulu désinfecter tous ces lieux réfrigérés.
Aujourd’hui, c’est la France qui est réfrigérée. C’est donc à une autre vitesse qu’il faut agir et c’est à nous, citoyens d’y participer. Rien n’empêche les gens de chauffer chez eux, chaque jour, durant quelques heures à 35° ou 40° et d’allumer des lampes à ultraviolets pendant quelques minutes. Il ne s’agit plus de se protéger d’homme à homme, il s’agit de détruire le virus là où il se pose, là où il est dans l’air.
Je sais qu’il est difficile de mener deux guerres à la fois mais la guerre économique va s’intensifier car l’Orient n’est pas touché ou si peu par le virus.
L’Orient exulte, l’Occident est dans la peine.