Dire que nous devons apprendre à vivre avec les cancers et avec les virus, est la chanson de ceux qui ne savent pas ou qui ne veulent pas savoir, par intérêt.
Laissons les médecins agir sur le terrain en oubliant les protocoles ancestraux et le bon sens triomphera. Chaque maladie, chaque virus, a sa cause et une origine.
A partir du moment où nous connaissons la cause ou l’origine, il faut alors oser mettre en application la solution. Passer par le trou de l’aiguille imposé par la médecine ne fera pas le poids face à l’évidence d’autant plus que ce que je propose est sans risque, sans effets secondaires, sans bricolage avec la santé, sans placebo.
Nombreux sont les médecins et les chercheurs qui en ont assez de la dictature médicale, un Etat dans l’Etat. Revenons à la simplicité avec des résultats à 99%.
Nous savons que pour tuer tous les virus, quel qu’ils soient, il faut de la chaleur avec un complément de rayons ultraviolets. Pour les cancers, nous savons que pour les empêcher de naître ou de se développer, c’est tout simplement un problème de régulation de pressions atmosphériques que nous savons maîtriser.
Ce que je propose est si simple que l’on ose le mettre en doute, qu’on ose empêcher l’homme de vivre en pleine forme tout au long de sa vie.
Empêcher les virus d’infecter et empêcher la naissance de cancers, voire empêcher leur développement, c’est en fait et aussi, défendre et reconstruire un système immunitaire que la nature nous a offert.
Au plan économique, il faut aussi tuer le cancer qui ronge notre productivité. Décidément, ce cancer-là, comme les autres, fait des ravages.
Il ne faut pas grand-chose pour établir un nouveau monde. Mieux vivre, en pleine forme, plus longtemps, avec un pouvoir d’achat augmenté de 20 %, c’est la paix sociale, ce sera le fondement d’une vie durable et renouvelable.
Oh mon Dieu ! Un monde qui évolue en conservant ses habitudes, n’est pas digne de la science et encore moins de la politique.
Non, je ne suis pas fou. Si ce n’est pas aujourd’hui qu’on réalise ce que j’ai découvert, ce sera nécessairement demain. Alors, pourquoi ne pas gagner du temps ? Je vais vous le dire : ce que je propose est gratuit et ce que propose les prétendus scientifiques coûtera une fortune.
