Oui, l’homme peut être éternel, mais il passe son temps à se détruire.
En se faisant l’ami de la nature, il oublie que la nature est dangereuse par ses poisons, par ses virus, par ses mutations, par ses dérives.
Bien sûr, on nous dira que c’est ce qu’il mange, ce qu’il boit ou ce qu’il respire qui sont les causes de sa destruction. Mes ces agissements ne sont que des facilitateurs de notre destruction ; ils n’en sont pas la cause. La vraie et la seule cause qui nous fait vieillir est la destruction de notre système immunitaire dont l’homme perd 1%, chaque année, et ce, dès la première année.
L’homme ne fait rien pour écarter de lui les dérives de la nature. Il a aussi oublié que la nature n’est pas la vie et que la nature ne vit que par le soleil.
Dieu a créé l’homme à son image ; l’homme est donc éternel. Mais l’éternité a ses exigences.
L’éternel a doté l’homme d’une intelligence et il a doté l’animal d’un instinct extrêmement puissant. Et ce n’est que par l’intelligence que l’homme doit combattre les dérives de la nature. L’animal, quant à lui, va les fuir.
La vieillesse n’est pas innée, c’est l’homme qui refuse de prendre les mesures nécessaires pour combattre les dérives de la nature, de ses virus et de leurs conséquences.
L’homme se régénère sans cesse mais cette régénérescence a aussi ses limites. L’homme vit dans un espace magnétique et produit sa propre énergie. En fait, il est un peu comme un moteur électrique dont le rotor tourne sous l’influence magnétique. Ce moteur électrique serait éternel si l’on avait le bon sens de changer, de temps à autre, ses roulements et ses paliers. Un moteur électrique risque de griller si on lui demande plus de force que celle pour laquelle il a été prévu. Il en est de même pour l’homme qui, sans cesse, abuse de ses forces, refuse de s’entretenir et de combattre l’adversaire de tous temps : la nature.
Sur une autoroute, le moindre accident, le moindre barrage, provoquent des bouchons handicapants.
Quand l’homme subit des pressions atmosphériques qui vont empêcher le sang d’alimenter les cellules par manque d’oxygénation, il commence à vieillir car c’est son système immunitaire qui est attaqué.
Ce qui risque de le conduire inévitablement à la construction d’un cancer.
Il en est de même quand des virus s’abattent sur le monde : l’homme refuse de les éradiquer et on nous demande de « vivre avec ». Ce que l’on oublie c’est qu’il y a 1 600 morts par jour en moyenne, en France, dont 220 par cancer, et 250 par le virus. J’entendais, l’autre jour un épidémiologiste dire qu’on allait devoir en supporter les conséquences pendant des dizaines d’années !… L’homme n’est pas l’œuvre de la médecine qui se contente de le soigner des dérives de la nature. Ne serait-il pas préférable d’éviter la cause ?
Oui, l’homme pourrait vivre éternellement, le jour où l’on aura compris que lorsque l’on connaît la cause, il faut la détruire, que ce soit pour les virus, que ce soit pour les cancers. Quand on n’est pas en sécurité dans nos villes, on rajoute des policiers. Ne serait-il pas plus sage d’éviter l’insécurité et ses causes ? Il en est de même pour l’homme.
C’est donc cette vie nouvelle que je propose en éradiquant tous les virus quels qu’ils soient et en évitant les cancers par la régulation des pressions atmosphériques afin de protéger notre source de vie et ceux qui nous protègent, tels que les leucocytes.
La stratégie militaire de la France
Avec les EPR, centrales nucléaires actuelles, on peut, en cas de conflit, rayer la France en quelques minutes. Est-ce la solution ?
Ce que je propose, avec les SMR (minicentrales), au-delà des avantages techniques qui sont évidents, c’est la suppression de tout ce qui trouble la nature : les lignes aériennes, les transformateurs, les pylônes et aussi les cheminées qui provoquent par leurs vapeurs des micro-climats dévastateurs. Et je n’oublie pas le réchauffement des cours d’eau utilisés pour refroidir les réacteurs.
J’en reviens à la politique de de Gaulle : ce que je propose avec les SMR est bien de la dissuasion en faisant en sorte qu’il soit impossible de détruire ces SMR, enterrés et éparpillés par milliers dans les régions. C’est une raison de plus : choisir les SMR pour remplacer les EPR, trop exposés.
Les EPR, c’est du passé, les SMR sont le futur au plan économique et stratégique.
La sécurité d’un pays, c’est le sang qui coule dans nos artères. L’énergie électrique est une assurance de vie économique.