Il aura fallu le sang de l’Ukraine, d’une part pour cimenter une nouvelle Europe mais aussi, hélas, d’autre part, notre propre égoïsme.
Verra-t-on une Europe qui aura sa défense, son armée, et qui consacrera 5% du PIB de chaque adhérent pour constater cette force indispensable face à une autre puissance dans le monde.
Les États-Unis qui jouent aux seigneurs avec leur dollar, se retrouveront un peu seuls.
L’Euro pourrait prendre une autre dimension.
Les Européens se sont rendu compte qu’ils vivent au-dessus de leurs moyens par rapport au reste du monde.
Ils ont épuisé leurs gisements miniers. Ils n’ont pas cherché à remplacer l’uranium alors que le thorium est en abondance dans toute l’Europe.
L’Europe a oublié son indépendance.
Son régime social d’aujourd’hui impose une autre forme de défense de son système immunitaire.
Elle devra éviter l’outrage d’une nature désinvolte pour réduire son coût social.
L’Europe peut ainsi économiser 50% de son coût social sans avoir à l’ébrécher. Il coûte aujourd’hui 600 milliards chaque année.
Nous pouvons le ramener à 320 milliards par des moyens tout à faire naturels.
L’homme pourra accroître sa productivité, il pourra éviter la vieillesse et la maladie et avoir un coût de production à l’égal de la Chine, de l’Inde et des pays de l’Orient.
Nous aurons dès lors les moyens d’une autre vie, dans un autre monde.
Nous pourrons avoir une puissance militaire ainsi qu’une puissance économique.
Les Américains veulent rattraper leur jeunesse en lavant leur sang impur par dialyse.
L’Europe évitera de salir son sang en régulant les constantes de la vie et sans avoir besoin de le laver, simplement en s’attaquant aux sources qui peuvent le rendre impur.
Ce n’est ni laver le sang, ni laisser mourir nos cellules, mais simplement réguler les pressions atmosphériques dans lesquelles nous vivons.
Et nous éviterons de perdre notre jeunesse ainsi que notre système immunitaire.
Toutefois, le système américain nous aura permis, à nous Européens, de corroborer la nécessité de conserver un sang purifié pour conserver sa jeunesse.
Les méthodes sont différentes pour aboutir au même résultat.
- L’un est fort coûteux,
- l’autre est quasiment gratuit dans la durée.
La mort, dites-vous ?
- Est-il nécessaire d’attendre que la mort vous emporte ?
- Est-il nécessaire d’aller à sa rencontre ?
- L’Ankou se charge déjà de vous la retirer sans nous le demander.
- Et pourquoi l’homme ne serait-il pas éternel ou proche d’une autre vie qu’il pourrait construire ?
L’ADN est éternel.
Que fait-il pour conserver la vie ?
Rien, ou si peu.
On a essayé, tant bien que mal, de protéger les constantes visibles ou ressenties tels que l’air, l’eau, la nourriture.
Que fait-on pour pallier les dérives invisibles, de l’air qui nous écrase, du magnétisme qui nous paralyse ?
Pourquoi aller chercher les causes des maladies et de la vieillesse dans des éprouvettes alors qu’elles émanent de la nature ?
Dire que l’on n’y a pas pensé relève d’une intelligence primaire où l’invisible règne en majesté. Pourquoi l’incrédulité nous empêche-t-elle de vivre longtemps et en pleine forme par un simple régulateur de nos constantes, maîtresses de notre vie ?
Nous savons le faire.
Le résultat serait-il si important qu’on en aurait peur ?