Nos vieux, vulnérables, ne sont pas la cause de la pandémie et ils en paient un lourd tribut. Et, comme toujours, on préfère punir que de trouver la solution.
Le plus beau cadeau de Noël ne serait pas la punition mais de renforcer le système immunitaire de nos vieux dont je fais partie.
Car, en fait, ce n’est pas la vieillesse qui est en cause mais c’est de ne pas avoir su préserver notre système immunitaire pour faire barrage aux attaques des virus, des cancers et autres grandes maladies.
Et restaurer, nous savons le faire, y compris par les Compagnons du Devoir et aujourd’hui, plus que jamais, c’est le devoir de l’État et des dirigeants de chaque pays de maintenir leur peuple en pleine forme.
Il faut être courageux et faire des efforts pour accepter les solutions. Il faut d’abord se protéger des attaques répétitives de la nature, qu’elles proviennent des virus ou des pressions atmosphériques.
Oui, il nous faut, dès la naissance, maintenir notre système immunitaire. Les hôpitaux sont remplis de patients qui s’écrient « si j’avais su ! ». Oui, peut-être trop tard, mais c’est déjà un début de prise de conscience.
« Il est fou » ce Leclerc, et là vous n’avez rien inventé, on le sait depuis longtemps. Mais, en fait, il fait bouger les lignes et, pour la privation de Pâques et de Noël, on pourrait se dire et se poser la question : comment faire ?
Il n’y a pas un médecin au monde qui ne sache pas réparer les attaques journalières à défaut d’éradiquer la cause et ses conséquences, en se protégeant.
La vie vaut bien cet effort. Le temps où l’on punissait les enfants parce qu’ils faisaient pipi au lit, est révolu. Le temps où on laisse les vieux mourir sans avoir éradiquer les causes, est révolu.
Les causes, l’évidence, mises à jour, éviteront de surcharger les hôpitaux ; en fait : une belle économie chaque année de plus de 200 milliards. Seraient-ce les laboratoires et notre système médical qui entravent cette victoire ?
Prétentieux sûrement, orgueilleux également, mais réaliste et gratuitement, je le suis. C’est ma devise dans l’intérêt de l’humanité et des Français en particulier.
L’expérience vient de nous démontrer la réalité de mes dires. Des jeunes ont pu être atteints mais, heureusement, ils n’en sont pas morts, préservés par leur système immunitaire et l’oxygène qu’on leur a donné. Et oui, l’oxygène est notre arme en temps de guerre et de paix.