Les spéculateurs ne sont que les facilitateurs, l’Ukraine n’est qu’un prétexte.
Tous les pays occidentaux ont une dette colossale qu’ils ne parviennent pas à réduire et qui continue à progresser. La seule solution qu’ils ont trouvé est l’inflation qui va réduire la dette de 20 à 30%, selon les pays, d’ici fin 2023.
Et comme d’habitude, il suffit de chercher à qui profite le crime et qui sera la victime. La victime sera le peuple qui a su épargner et qui va voir son pécule réduit de 20 à 30% en moins de deux ans. Bien sûr, pas en chiffre, mais en valeur de ce que l’on pourra acheter avec ce pécule dévalorisé.
C’est comme le pouvoir d’achat : ce n’est pas la hausse des salaires qui procurera davantage de pouvoir d’achat car la hausse des salaires provoque inévitablement une nouvelle inflation.
Les épargnants, les retraités, qui espéraient avoir une réserve pour leur retraite, vont la voir fondre au soleil. Une fois de plus, pour payer la dette, on va taxer les épargnants par l’inflation. Ceci revient, en fait, à une nouvelle taxe déguisée, taxe qui nous avait été pourtant refusée par les mêmes dirigeants des mêmes pays.
Les États qui ont annoncé faire baisser la dette, sont des menteurs. C’est par ce dispositif d’inflation qu’ils obtiendront une nouvelle marge de manœuvre pour combler, une fois encore, les désastres du COVID en octobre prochain.
Faute d’avoir éradiqué le COVID, il s’est multiplié, il s’est renforcé et il est prêt à une nouvelle attaque qui va nous coûter encore 4 à 500 milliards, rien que pour la France. Et je ne parle plus de morts, on s’y est habitué… !!!
Ce n’est pas ainsi que l’on pourra envisager de grandes réformes car l’euro sera aussi devenu une monnaie de singe.
On nous parle de futur, on oublie le présent et la nécessité d’investir 50 000 milliards pour remettre en culture les déserts, seule cause du réchauffement climatique. Cette fois, il n’y aura même pas de demi-mesures car il n’y aura pas de mesure du tout.
Pendant ce temps, l’homme continue à s’affaiblir rapidement, beaucoup plus vite qu’au siècle dernier, par le cancer, par les virus, par le climat, par la peur.
Il va falloir prendre le taureau par les cornes pour remonter la pente. Quatre mesures s’imposent :
1) L’éradication des virus
2) La mise en place du dispositif pour stopper les cancers
3) Réduire les prix par ce que l’on appelle la TVA Sociale mais sans impôt nouveau
4) Un investissement et non une dette pour remettre en culture une partie du Sahara si l’on ne veut pas devenir des sardines sur le gril !
Je rappelle, au passage, que cette dernière mesure mettrait fin à l’immigration et donnerait aux populations des pays limitrophes au désert, l’envie de rester chez elles et de bien vivre.