Les chiffres de l’INSEE sont formels : au 30 septembre 2020, il n’y a pas eu un seul décès de plus qu’en 2018 pour la même période, du 1er janvier au 30 septembre de l’année.
Mais alors, comment expliquer les décès de la COVID-19 qu’on nous annonce tous les jours ? On nous annonce 33 000 morts depuis le début de l’année, on ne les retrouve pas dans les chiffres. Etait-il nécessaire d’en faire une dramatisation qui risque de provoquer de vrais morts, ceux-là, par la peur, par la terreur, par la pauvreté.
Comment expliquer ces chiffres actuels ainsi que la projection qu’on peut faire d’ici la fin de l’année 2020. Il y aura eu moins de morts dans toute l’année que les années précédentes.
On va nous dire que l’on a tout fait pour neutraliser le virus. Je veux bien, mais alors pourquoi nous annoncer tous les jours une explosion exponentielle des cas de contamination ? Il y a quelque chose qui ne va pas dans cette mécanique.
Je suis prêt à tout accepter le jour où l’on nous donnera les vrais chiffres et les vraies raisons de ces décès.
Mon seul objectif n’est pas d’être négatif, mais au contraire, je cherche toujours à apporter un plus de vie à nos concitoyens, à cette différence près que je préfère éviter la maladie qu’avoir à la soigner.
C’est pourquoi je me suis mêlé de cette affaire qui, à mon avis, n’est pas que médicale car, pour le virus comme pour les cancers, je ne pense pas qu’on ait utilisé les bonnes méthodes ni les moyens qui sont à notre disposition.
Il n’y a pas que les médicaments pour sauver ; ce n’est pas vrai. Il existe des moyens mécaniques qui peuvent sauver sans avoir le moindre effet secondaire. Je veux parler des purificateurs d’air, des lampes à ultraviolets mais aussi des régulateurs de pression atmosphérique qui permettront à chacun de vivre sans une épée de Damoclès sur la tête.
Ce que je propose aura pour effet de réduire les décès pour toute maladie ou tout virus, de plus de 20% dans les cinq ans à venir.
Pourquoi toujours faire compliqué quand les choses sont si simples.
Le médical a tenté de faire son travail mais il n’y est pas arrivé au résultat espéré. Laissons alors à la technique et à la mécanique le soin d’éviter toute maladie.