Critiquer n’apportera aucune solution crédible et réaliste.
Il est trop facile de critiquer. J’entends parler, critiquer, insulter : tout ceci n’est que du verbiage souvent par intérêt économique et politique.
Le virus mis sous cloche ne fera plus sonner le glas, il n’y aura plus de morts, il n’y aura plus de malades.
A quoi serviraient des expériences si on ne veut pas entendre la solution ? Une expérience vient d’être faite et elle aboutit au résultat suivant : le virus naît et se développe à des températures variant entre 2 et 8°, et où peut-on trouver de telles températures, hiver comme été si ce n’est dans les chambres, les entrepôts et les camions frigorifiques ?
Vivre et mourir avec le virus est une formule un peu facile, voire décevante surtout quand on voit la masse de gens qui cherchent, mais qui ne trouvent pas.
Refuser le combat n’est pas digne d’un Français. J’aurais tendance à dire « aux armes citoyens. Et les armes contre le virus, nous les connaissons, nous savons ce qu’il faut faire. Alors pourquoi ? Tout simplement parce qu’il y a de gros intérêts en jeu.
Empêcher un virus de naître et de vivre, rien de plus simple que de l’exposer à des rayons ultraviolets.
C’est d’ailleurs ce que fait le soleil pendant tout l’été et on en voit le résultat. Il suffit de regarder la courbe des cas des mois de juin, juillet et août de l’année dernière. Mais, malheureusement, les rayons du soleil ne peuvent pas atteindre l’intérieur des espaces réfrigérés où la température est en permanence entre 2 et 10°.
Mettons le virus sous cloche dans tous les espaces où il peut vivre et il n’y aura plus, ni malades, ni morts. C’est quand-même un peu de bon sens et d’évidence.
Cette idée sillonne la totalité de la planète. Il y a des entrepôts frigorifiques partout, sauf peut-être dans des pays plus que sous-développés, tel que le centre de l’Afrique.
Neutralisons les nids de virus et ils ne s’échapperont plus, ni dans la nature, ni sur les gondoles réfrigérées.
Je me pose aussi la question, aujourd’hui. N’y a-t-il pas une certaine corrélation entre nos importations émanant d’Afrique du Sud ou du Brésil, des importations de fruits, de légumes et de viande que nous allons toucher de nos mains à de multiples reprises. Ne faudrait-il pas arrêter, durant quelques mois, toutes ces importations de quelque nature qu’elles soient ?
Ceci ne dérangera nullement la consommation française qui possède de larges réserves et de multiples autres produits régionaux, en fruits et en viande
C’est peut-être trop simple mais on voudrait détruire l’humanité qu’on ne s’y prendrait pas autrement qu’avec des vaccins dont on ne connaît exactement, ni les résultats, ni les conséquences.