Michel Barnier, candidat potentiel à la Présidence de la République, propose un moratoire sur l’immigration. Il n’a jamais souhaité se passer d’une immigration quantifiée et choisie, nécessaire à notre économie. Rien ne lui interdit, ni par des lois françaises, ni par des lois européennes, de choisir ceux qui voudraient travailler chez nous.
Nous avons près de cinq millions d’immigrés en France ont un bon tiers sont des clandestins et donc, sans la moindre autorisation et sans le moindre papier officiel.
Le droit d’asile a bon dos et n’est pas suffisamment respecté. Je pense qu’il faudrait demander à ceux qui viennent en France d’avoir d’abord l’autorisation de notre ambassade dans leur pays. C’est ce que l’on appellerait l’immigration choisie.
Plus de 50% de l’immigration en France provient d’Afrique et les autres immigrés viennent de Chine, d’Inde, mais aussi de Pologne et des anciens pays de l’Est, voire aussi quelques Brésiliens.
Si l’on veut réduire l’immigration, choisissons d’abord ceux qui ont le désir d’adopter notre civilisation. Au risque de me répéter, la civilisation musulmane ne peut pas s’adapter à notre civilisation judéo-chrétienne. Nous n’avons pas les mêmes valeurs. Et il en est même, parmi ces immigrés musulmans, qui voudraient nous imposer leur civilisation ; nous devons coûte que coûte nous y opposer. Mais comment faire pour militer l’immigration et surtout l’immigration clandestine ?
Il faut aussi oser dire que ceux qui viennent en France ne viennent pas par plaisir mais souvent pour nourrir leurs enfants. C’est donc sur ce point-là qu’il va falloir agir, non pas par la force mais en donnant à ces populations les moyens de construire leur pays, non pas par des subventions mais par le matériel nécessaire, tant pour l’agriculture que pour l’industrie. Je précise « en donnant ». Mais cela aura un coût pour l’Europe de près de 1 000 milliards…, on n’est plus à cela près.
Aujourd’hui, à peine 5% du territoire africain est cultivé et ce qui était impossible hier est devenu tout à fait réalisable grâce à l’énergie nucléaire de minicentrales qui permettront l’utilisation de pompes et autres matériels pour la création d’un millier d’oasis et plus, si nécessaire, dans les déserts africains.
Il faut arrêter l’angélisme : en leur donnant la possibilité d’avoir l’indépendance, nous avons oublié qu’il ne faudrait pas les rendre de nouveau dépendants des autres pays du monde. Et c’est ce que l’on a fait, on a oublié que ces pays avaient le droit de vivre, qu’ils avaient le droit à la liberté, à l’indépendance. La colonisation n’a pas toujours été dans le bons sens ; on s’est souvent considéré comme des êtres supérieurs, en colonisant ces pays.
D’autres temps et d’autres solutions sont apparus. L’investissement que nous ferons dans ces pays sera plus que rentable. Premièrement, cela limitera l’immigration vers l’Europe. Deuxièmement, cela résoudra le problème climatique dont les déserts sont la seule cause.
Cela constituera un investissement de 1 000 milliards mais qui permettra aussi aux Européens de continuer à vivre dans leur civilisation et dans leur climat tempéré.
D’ici moins de cinquante ans, l’Afrique aura doublé sa population. Cultiver ces déserts permettra de nourrir ces populations.
Michel Barnier a raison de limiter l’immigration mais il sait très bien que l’on ne peut pas s’en passer totalement. L’immigration bien pensée est aussi un atout pour notre économie.
Il faut résoudre le problème de l‘immigration africaine
On ne résoudra pas le problème de l’immigration africaine, ni en France, ni en Pologne, ni en Biélorussie, ni en Allemagne, sans un investissement de 1 000 milliards.
L’Afrique est un pays de merveilles où le soleil est en abondance, et les terres sont loin d’être totalement arides. Autrement dit, avec l’eau on peut transformer ce continent en un véritable jardin. Il faut quand même savoir qu’aujourd’hui 30% des fleurs proviennent d’Afrique, souvent d’ailleurs après être passées par le marché floral international des Pays-Bas.
Ces pays qui constituent l’Afrique possèdent des richesses inexploitées, richesses en agriculture, en horticulture, et forestières. Nous allons manquer de bois en France, aussi bizarre que cela paraisse, parce que nous exportons massivement vers la Chine, tout spécialement des essences de bois dur. C’est ce qui pousse le mieux en Afrique.
Aujourd’hui, l’Afrique subit une spéculation extraordinaire surtout dans le domaine de l’alimentaire. On joue avec la fourniture du riz en essayant d’affamer les populations pour spéculer sur le riz. Il faut que tout cela cesse si l‘on veut éviter une invasion musulmane en Europe. C’est ce qui nous pend au nez, par incompétence et manque de vision sur le futur.
Il y a déjà des pays africains qui l’ont parfaitement compris en créant la ceinture verte et en commerçant les produits horticoles favorisés par l’ensoleillement.
Quant au sous-sol africain, il est probablement le continent le plus riche en or, en bauxite, en uranium, en lithium et en thorium. Mais là-encore, on a voulu s’emparer de ces richesses au détriment de ses pays.
Demain, l’Europe va disposer de minicentrales nucléaires dans toutes ces régions. La bauxite va devenir un minerai dont l’utilisation sera multipliée par dix grâce à l’énergie nucléaire de ces minicentrales. Pour faire de l’aluminium, il faut beaucoup d’énergie électrique à un prix compétitif car si la bauxite n’est pas très chère à la tonne, le prix du KW est trop élevé en France, comme en Europe.
On a voulu remplacer l’aluminium par le plastique mais le plastique est à base de pétrole dont nous voulons absolument réduire la consommation.
Que de possibilités pour l’Afrique ! Mais voulons-nous vraiment résoudre le problème de la pauvreté en Afrique et de l’immigration en Europe ? Car l’immigration clandestine permet aussi de limiter les salaires en France…
C’est un peu le chien qui se mord la queue : on voudrait limiter la pollution, on voudrait limiter le réchauffement climatique, et on fait exactement le contraire en utilisant charbon et pétrole.
Et ce sont nous qui devenons dépendants en jouant avec le diable alors qu’en développant l’Afrique, on développera aussi notre industrie. Et en développant notre industrie, on augmentera aussi notre pouvoir d’achat.