Le coût médical de la vieillesse
Le coût médical actuel pour l’assistance à la vieillesse est de 100 milliards chaque année.
Ce sera demain une belle économie car l’homme n’aura plus, ni de vieillesse, ni de maladie.
Une fois encore, prenons le bon chemin et entretenons notre corps, notre vie, comme on entretient sa voiture, en régulant les constantes, piliers de notre vie.
On parle beaucoup d’argent, mais l’homme mérite mieux que la souffrance engendrée par les maladies, causées uniquement faute d’entretien de notre corps.
A cinquante ans, on ne sert plus le profit de la société et on est mis au rancard.
Même si vous n’y croyez pas, essayez vraiment Hygée le régulateur et vous verrez.
Ce n’est, ni une cure, ni un régime, c’est simplement une régulation de notre environnement actuel, dans notre chambre à coucher ou encore dans notre bureau et mieux encore, dans les salles de classe, les salles de sport, sans oublier les maternelles et les crèches.
L’impôt provisoire par nécessité peut durer
En temps normal, nous savons tous qu’un impôt provisoire devient souvent définitif mais, avec Michel Barnier, je pense qu’il fera l’exception, parce qu’il en aura les moyens.
Quels sont les deux points importants du coût social ?
- La maladie
- Les retraites.
Réduire de 80% le coût en supprimant les causes, est la solution.
Aplanir le coût des retraites par la durée de vie me paraît si simple qu’on a peine à le croire.
Le salarié sera gagnant tout sa vie durant. L’homme aura vaincu une grande partie des souffrances provoquées par les grandes maladies.
Le résultat est tout simple : c’est 300 milliards de moins pour la Sécurité Sociale chaque année et 100 milliards pour la CNAV. Sans oublier les 200 à 300 milliards de production supplémentaire annuelle dus à une pleine forme.
Il n’en faut pas plus pour réduire nos déficits et rétablir notre balance commerciale grâce à la santé retrouvée et le tout, sans fatigue supplémentaire.
Oui, ce sera la régulation des constantes, piliers de notre vie, visibles et invisibles qui nous conduira à ce résultat.
Alors, je dis oui à l’impôt provisoire sur deux à trois ans, mais je dis aussi oui à l’équipement de tout un chacun d’un régulateur en ce qui concerne les pressions atmosphériques.
L’Etat pourra alors reprendre son faste et le nombre de fonctionnaires pourra se réduire un tant soit peu.
Notre pouvoir d’achat progressera de 50% en dix ans. L’inflation sera tétanisée, notre dette s’infléchira, ce qui réduira déjà nos dépenses de 60 milliards, l’année.
Les oublis, les erreurs du passé, ne seront plus d’actualité. La France pourra de nouveau innover, produire, travailler, sans fatigue exceptionnelle. Le Français reprendra vie, et pour longtemps.