Force est de constater que, ni les masques, ni les tests, n’ont réduit les cas de COVID-19, qui sont d’ailleurs bien souvent sans conséquence.
Tous les jours, on affole la population par un nombre plus importants de cas, sans conséquence, mais qui font bien dans le tableau de la peur.
Il faut arrêter de prendre les Français pour des idiots. Ils n’aiment pas être roulés dans la farine !
Pendant ce temps, le travail, qui est un constat réel, ne repartira pas, faute d’un constat virtuel.
L’imagination d’une deuxième vague crée la peur et je dirai à présent, une peur virtuelle. Ceux qui souhaitent l’apocalypse ne savent pas à quoi ils entraînent le peuple de France.
On est souvent contraint de franchir des montagnes pour aboutir à la vérité, à la solution et à l’évidence. Aujourd’hui, c’est tous au travail pour travailler, c’est tous à l’école pour apprendre, dans l’intérêt de la France.
Permettre à tout le monde de travailler ne se fera que par l’idée de « tous en bonne santé ». Imaginer des maux inexistants est une désinformation scandaleuse.
Les chiffres, les constats, sont déterminants. Tout le reste est une perte de temps et d’argent… mais peut-être pas pour tout le monde.
Plus grave, on fait construire des usines pour fabriquer des masques dont, demain, nous n’aurons pas l’utilisation, ou si peu. On pourra toujours s’en servir pour reconstituer les stocks de la France et ils serviront peut-être si l’on n’a pas fait le nécessaire pour éviter les virus de toutes parts.
L’avenir n’est pas le masque mais c’est le matériel nécessaire pour éviter, en amont, toute épidémie. Et cette industrie-là marchera encore longtemps.
N’attendons pas que d’autres pays s’emparent de ce marché.