Chaque centime que donnent aujourd’hui nos politiciens au travers d’un État inconscient et irresponsable est une escroquerie que nos enfants devront rembourser ce crédit.
Les politiciens parient notre présent sur l’avenir de nos enfants
Chaque enfant à naître se retrouve, le jour même de son premier cri, avec une dette de 38000 €. Voilà qui lui aurait permis de débuter dans la vie, d’acheter les meubles de son premier appartement et sa voiture, mais cet argent ne sera jamais à lui. Il remboursera pourtant !
Oui, c’est une escroquerie de l’Etat car à chaque fois que l’Etat vous accorde 1 centime de prime sur votre salaire ou 1 centime de moins d’impôt à payer, il accroît d’autant la dette de la France sur le dos de vos enfants qui devront rembourserez.
Pensez-vous vraiment que cela peut durer ? Lorsque que vous allez dans une banque pour vous-même, vous prenez l’engagement de rembourser le crédit que vous demandez dans un délai raisonnable. C’est bien vous qui voulez le remboursez. L’Etat, lui, ne veut pas le rembourser cet emprunt qu’il fait sur la tête de vos bambins. Cette pratique enchaîne vos enfants pour le reste de leur vie.
La responsabilité de nos politiques est grande
L’Etat se croît au-dessus de tout mais, Messieurs les Dirigeants, tout cela finira par se payer très cher, peut-être pour vous mais surtout pour tous les Français, car la dette, tôt ou tard, il faudra la rembourser.
Même à utilisez une dévaluation, l’ensemble des Français y perdrait. Je sais, ce n’est peut-être pas facile mais arrêtons, de grâce, de chercher de l’argent. Au lieu de cela il faut produire de l’argent.
Vous mettez nos enfants de demain en faillite avant même qu’ils ne soient nés. Rendez-vous seulement compte des conséquences de vos actes ? Comment pouvez-vous accepter ce poison que vous inoculez à nos enfants. Avant même de creuser votre propre tombe, vous creusez consciencieusement la leur.
Que l’on ne me dise surtout pas qu’il n’y a pas de solution. La cause, on la connaît, la solution aussi. Alors, pourquoi attendre ? Qui a donc intérêt à conduire la France dans une telle situation ? Le grand capital ? Les politiciens ? Ô combien on peut comprendre la révolte des Gilets Jaunes que vous voulez briser. Ô combien le mouvement n’est pas prêt de s’arrêter avec vos actes inconsidérés.
Mais, Monsieur le Président, Messieurs les Politiciens de tous bords, vous n’arrêterez pas le vent qui vient du large. Foi de breton. Faites seulement en sorte que ce vent ne se transforme jamais en tempête. Vous n’iriez jamais assez vite pour écoper et vous en seriez aussi anéantis.
Faut-il avoir fait tant d’études, de sortir de si prestigieuses Écoles pour en arriver là ? J’entends tous les jours : « on va trouver de l’argent ». Non, vous ne le trouverez pas parce que votre objectif est de reporter les événements et non d’appliquer la solution qui est nécessaire : produire de l’argent.
Non nous n’avons pas tout essayé
En seriez-vous au stade où Monsieur Mitterrand disait : « on a tout essayé ». C’est faux. C’est aussi faux que de ne pas vouloir prendre les dispositions nécessaires pour empêcher le réchauffement climatique.
A raison de 2 665 € de dette supplémentaire à la seconde, il ne s’agit plus de simples soins à appliquer mais d’un garrot à placer aux urgences de l’hôpital. Et ce n’est jamais en plaçant un couteau dans la plaie que l’on arrêtera l’hémorragie.
Et vous vous étonnez, Messieurs les Dirigeants, que les électeurs refusent de voter ! Mais pour quoi faire, car de toute façon, tout ce que vous promettez aujourd’hui ne sera jamais réalisé.
La plaie ce n’est pas la dette, c’est le pouvoir. Alors, un peu de courage politique vous qui briguez ces places convoitées !