L’attentat qui a coûté la vie à la fille d’un proche de Monsieur Poutine est le début d’une liberté du peuple russe. Un tel attentat ne peut être fait que par des gens de l’opposition russe. L’Ukraine n’a rien à voir dans cet attentat.
Il est vrai que tous les services spéciaux occidentaux ont pour ordre de mettre Monsieur Poutine hors du pouvoir. Cela a déjà été commandé dans le cadre d’Hitler, sans résultat d’ailleurs.
Mettre Poutine hors course est l’affaire des Russes. Humilier Poutine, c’est l’affaire de l’Ukraine et de tous les pays occidentaux.
Monsieur Poutine a accepté que l’on visite la centrale nucléaire d’Ukraine, la plus grande d’Europe. Détrompez-vous : il l’a accepté tout simplement parce que le positionnement de cette centrale et son explosion entraînerait un désastre en Russie. Il faut y mettre tout de même un bémol car, sur les six réacteurs que compte cette centrale, cinq sont à l’arrêt.
En fait, l’acceptation de Monsieur Poutine n’est que sa peur d’être emporté par l’explosion éventuelle de cette centrale. Monsieur Poutine ne fait pas partie des gens courageux : il envoie les gens se battre le plus loin possible en espérant pouvoir gagner. Mais, c’est fini : l’Ukraine fait déjà reculer les troupes russes. L’Ukraine achève la présence russe en Crimée et fait même repartir tous les touristes russes qui étaient venus se reposer sur les bords de la mer noire ; ils ont compris qu’ils n’étaient plus en sécurité.
C’est à présent au peuple russe que revient l’honneur de reprendre sa liberté et cela ne saurait tarder.
Payer le prix de la liberté
Oui, bien sûr, en donnant des armes à l’Ukraine pour se défendre et pour repousser Monsieur Poutine dans ses frontières, y compris pour la Crimée.
Mais, demander aux Français de payer le prix de la liberté, c’est cacher l’inflation en France et faire du chantage en disant qu’on va manquer de nourriture et de pétrole.
Non, la France ne manquera de rien, ni de gaz, ni de pétrole, ni de moutarde !, ni d’huile de tournesol. A quel jeu le gouvernement joue-t-il ? Il sait parfaitement que la vraie liberté, en France, ne se paye pas en dollars.
L’inflation était inévitable face aux dettes cumulées depuis une vingtaine d’années et ce, dans le monde entier.
C’est donc en douceur que l’inflation va s’imposer dans notre pays à hauteur de 20% à fin 2023. Et cette inflation, c’est le peuple qui va en supporter les conséquences et tout spécialement les retraités qui avaient quelque peu thésaurisé quelques euros pour vivre une retraite paisible, qui en feront les frais.
Il faut rappeler aux Français qu’une inflation, c’est la réduction du pouvoir d’achat. Et en utilisant le système de l’augmentation des salaires, on ne fera qu’en accentuer les conséquences. La seule solution crédible, c’est de prendre le chemin de baisser les prix d’au moins 20% par la suppression des charges sur le travail et par la relance de nos exportations, devenues compétitives.
Il va falloir beaucoup de volonté à nos dirigeants pour ne pas faire subir à la population cette baisse du pouvoir d’achat dont ils sont totalement responsables n’ayant pas voulu mettre un terme aux causes, que ce soit de la maladie, des virus, des cancers, que ce soit aussi du réchauffement climatique à qui il faut couper la route des déserts qui en sont la cause. Il faut réduire ces déserts en les remettant en culture.
Et remettre en cultures les déserts, ce n’est pas de l’argent perdu, c’est de l’investissement. C’est aussi mettre fin à une immigration clandestine non souhaitée mais seulement désirée. Cette immigration est absolument nécessaire, faute de bras et faute de naissance. Et selon moi, il sera nécessaire d’accroître la vie jusqu’à 150 ans pour compenser ce manque de bras.
Mais cela n’a rien à voir avec le prix de la liberté. Ce sont nos dirigeants qui, aujourd’hui, entravent notre liberté. Il nous faut détruire le « vivre avec » et l’habitude et bloquer toute spéculation.
La vraie liberté est celle que l’on construit et non celle qu’on achète.