L’arc-en-ciel est un phénomène météorique qui permet, dans le langage commun, de donner un nom aux couleurs qui vont de l’infrarouge (invisible) à l’ultraviolet (invisible). L’arc-en-ciel apparaît dans le ciel quand le soleil se superpose aux nuages.
L’arc-en-ciel, c’est la palette de toutes nos couleurs. Il contient en lui-même tous les éléments nécessaires à la vie et à la protection de la vie.
Je pense que les chercheurs devraient s’y pencher car tout ce qui a été découvert aujourd’hui pour mettre fin à la pandémie des virus n’a pas permis du tout d’y mettre fin.
Cet arc-en-ciel nous donne ce que l’on a appelé l’infrarouge pour chauffer, celui que vous utilisez tous les jours dans votre micro-ondes et, de l’autre côté, à l’extrême, l’ultraviolet, c’est ce que le soleil apporte pour détruire tous les parasites.
Ne pensez-vous pas que tout ce que l’on fait aujourd’hui n’est que du bricolage ? On patauge comme il n’est pas possible. Et devant nous, dans le ciel, se trouve la solution car l’arc-en-ciel, c’est une décomposition de la lumière et la lumière, il y a celle du soleil mais aussi celle que nous savons fabriquer pour obtenir des ultraviolets.
Va-t-on encore longtemps défier le ciel, la nature, l’évidence ?
De la même manière, aujourd’hui 8 mars, le froid est réapparu depuis quelques jours et nous savons que la contamination ne se fait qu’en période froide ou en zone froide, en ce qui concerne les virus. Mais contamination ne veut pas dire explosion de la maladie, dont les symptômes n’apparaîtront d’ailleurs que quinze jours plus tard.
C’est ainsi que depuis l’année dernière, à chaque fois qu’apparaît une période froide, quinze jours plus tard, apparaissent de multiples cas de contamination. Et cela s’est déjà produit cinq ou six fois, mais on a du mal à en prendre acte. Dès qu’il fait quelques jours de soleil, il faut aussi attendre quinze jours pour que la courbe décline.
Bref, nous avons actuellement toutes les données, mais rien n’y fait de tous les artifices utilisés et pour cause, tous ces artifices visent à soigner les conséquences du virus, mais pas à le détruire. Et c’est du ciel que provient la solution.
Un virus ne résiste pas plus de quelques minutes à des rayons ultraviolets.
C’est pourquoi, en plein été, il y a beaucoup moins de cas de contamination. Je dirais presque que l’on pourrait croire qu’il est mort. Mais il réapparaîtra dès l’automne, dès la première période de froid. Pourquoi ? D’où vient-il donc ?
Il faut se creuser un peu les méninges. Où est la solution ? Parce qu’en été, comme en hiver, nous avons mis à la disposition des virus des appartements réfrigérés et, pendant l’été, il s’y complaît parce que dans les chambres réfrigérées, il va vivre et se développer et on le retrouvera à l’extérieur dès qu’il fera froid.
Il est un peu comme nous : quand il fait trop chaud, on se met au frais, et quand il fait trop froid, on se chauffe. Chacun son cycle, chacun sa méthode.
Si l’on veut en finir avec la pandémie, ce n’est certainement pas en le soignant. Mais en l’éradiquant : plus de virus, plus de maladie.
Il semble qu’il soit difficile, pour les chercheurs, de se pencher sur la nature qui brille sous vos yeux quand vous regardez l’arc-en-ciel. C’est si vrai d’ailleurs que dans tous les blocs opératoires, les outils utilisés sont placés sous ultraviolets dès la fin de l’opération. L’ultraviolet détruit les bactéries et les virus. Alors pourquoi ne pas l’utiliser partout où le virus peut s’endormir gentiment ?
Le principal se trouve dans les grandes surfaces, hypermarchés, supérettes et autres mais aussi dans toutes les pâtisseries, chez tous les fleuristes, évidemment chez tous les bouchers-charcutiers et j’en passe, sans oublier votre propre réfrigérateur.
La nature a toujours son antidote mais elle est beaucoup moins chère que tous les médicaments artificiels…
La solution est donc dans l’arc-en-ciel, elle est dans la lumière ; elle est sous vos yeux, la solution, dans le spectre de la lumière. Est-ce trop simple pour être utilisé ? Détruire toute une économie pour ne pas vouloir utiliser la nature : elle risque fort de vous jouer des mauvais tours.
