Annoncée par le Président de Toyota, la voiture à eau, avec son moteur thermique à hydrogène et son réservoir à eau, mettra fin à toutes les autres motorisations, y compris électriques.
Ceci paraît bizarre et étonnant, que l’on puisse faire fonctionner une voiture dans carburant carboné.
L’hydrogène sera produit dans la voiture par une petite génératrice qui permettra l’hydrolyse nécessaire pour fabriquer l’hydrogène à partir de l’eau.
On va nous dire que c’est impossible qu’une énergie produise une autre énergie mais ce n’est pas le cas. C’est par un phénomène de résonnance que l’on peut produire 1 000 fois plus que l’énergie utilisée.
La composition de l’eau est H2o, celle qu’on utilise pour éteindre les incendies. Mais quand on sépare l’hydrogène de l’oxygène, il devient un combustible et l’oxygène un accélérateur.
C’est le même phénomène qui se produit avec le plutonium dont on se sert pour les bombes atomiques, mais en allant encore plus loin, en cassant l’atome ou en le faisant fusionner.
Oui, c’est fini les combustibles carbonés. Et de l’eau, on n’en manque pas ! Cela réduira nos importations (il n’y aura plus d’importation de pétrole).
Ce sera une révolution économique, sociale et sanitaire ; on ne produira plus de Co2 (gaz carbonique).
Mais pourquoi n’y a-t-on pas pensé avant ? Il en est de même pour notre vie, en régulant les constantes, piliers de la vie.
Adieu les médicaments, adieu le coût du sanitaire. Avec trois fois rien, on va multiplier la durée de vie par 2 et accroître notre productivité par 4. Il suffisait d’y penser…
Oui, ce sera aussi une révolution, sanitaire, sociale et économique. C’est toujours avec des minorités que se construisent les révolutions.
Les Français, comme les Japonais, sont un puits d’idées. Utilisons-les.
Cependant, pour la vie, comme pour la voiture, on va se heurter à l’incrédulité et à l’obscurantisme qu’il nous faudra combattre avec encore davantage de force.
La France étouffe
La France est étouffée par l’incrédulité, par le doute, par l’obscurantisme.
C’est pourquoi tant de cerveaux quittent la France pour les États-Unis, pour le Japon, où toute découverte, toute innovation, est protégée pour faire des miracles ou, pour le moins, être prise en compte.
En France, c’est le début d’un calvaire quand une découverte fait jour, c’est l’insolence qu’on doit subir. Il est parfois difficile de comprendre l’objectif recherché, on pense toujours à une arnaque.
Bien sûr, il faut savoir faire le tri. C’est le rôle de l’INPI qui met beaucoup de temps pour donner son verdict. Mais le temps, c’est de l’argent perdu pour l’inventeur et pour la société, en général.
Il serait souhaitable que ce temps soit considérablement réduit, comme aux États-Unis. Je ne considère pas les États-Unis comme un exemple politique, loin s’en faut, mais sur le plan de la découverte, c’est certainement un exemple.
Peu importe si le découvreur s’enrichit. Après tout, le sport enrichit aussi. L’idéal, c’est que les découvertes servent à tous. Les Français sont des débrouillards et peu sont des arnaqueurs.
Toutefois, il est rare qu’en France ce soit celui qui invente qui en profite tant il est difficile pour un inventeur de réaliser lui-même son invention…