La puce électronique a révolutionné la communication.
Le régulateur de pression atmosphérique va révolutionner nos vies.
Le Sublimator va révolutionner la crémation mais aussi l’incinération des ordures ménagères. Ce sera, dans les pompes funèbres comme l’arrivée d’un nouveau modèle de voiture dans le circuit automobile, pleine de nouvelles technologies.
C’est le rôle d’un concédant de marque ou d’un franchiseur d’apporter au concessionnaire ou franchisé, le futur et le demain.
Mais les pompes funèbres ne doivent pas faire oublier la vie. En fait, la mort n’est qu’une séquence de vie.
Si je me bats aujourd’hui pour défendre la vie en essayant de casser le monopole médical, c’est d’abord en éradiquant les cancers, les grandes maladies et bien d’autres.
Oui, le cancer, c’est fini ; les grandes maladies, c’est fini. A nous de rester en pleine forme en utilisant les régulateurs de pressions atmosphériques. C’est simple et c’est efficace à 100 %.
Les virus, c’est aussi fini ; ils n’ont pas leur place dans le corps humain. Mais là encore, c’est à nous de s’en protéger. Il faut éviter de les croiser ; en être atteint n’est pas inéluctable. Il faut simplement utiliser ce que l’on a à disposition : la chaleur à 40 ° et les rayons ultraviolets, semblables à ceux du soleil.
Aujourd’hui, on nous annonce des foyers de Covid-19 dans les abattoirs : s’est-on seulement posé la question : dans les abattoirs ? Ce n’est pas seulement dans les abattoirs mais dans tous les espaces frigorifiés qui sont les terrains de jeux du virus.
Il faudra donc aussi vérifier tous les entrepôts frigorifiques de Rungis et ailleurs. Il faut tous les équiper de rampes émettrices de rayons ultraviolets, y compris durant leur fonctionnement.
Les mêmes dispositions doivent être appliquées dans votre réfrigérateur : une simple lampe à ultraviolets en permanence sera efficace mais n’exclut pas l’utilisation de la chaleur pour détruire les virus quels qu’ils soient.
Plutôt que de demander aux citoyens de créer des barrières, attaquons-nous aux nids à virus. Non ! On ne nous apprendra pas à vivre avec le virus, pas plus qu’avec le cancer. Mais c’est un autre monde que nous devons inventer ou tout au moins mettre en pratique. Il n’y pas pire que les habitudes. Vivre avec une habitude, c’est déjà se condamner, y compris pour un gouvernement.
Attention, Monsieur le président de la République, les demi-chaleurs, les demi-mesures, n’aboutissent jamais. Face au danger, ce sont les armes les plus fortes qu’il faut utiliser, sans faire la guerre.