La mort par incompétence
Nous mourons de maladie et de vieillesse par incompétence.
Tout a un cycle mais c’est par incompétence que notre cycle de vie est si court.
Aujourd’hui, on connaît un certain nombre des causes qui provoquent notre mort. On ne connaît pas toutes les constantes qui régissent notre vie, toutefois, en régulant celles que nous connaissons, visibles ou invisibles, nous pourrons doubler, voire tripler notre cycle de vie.
C’est un défi à l’éternité, à l’infini.
Il est un peu trop facile que dire que nous ne sommes que des êtres finis : peut-être, excepté si nous cherchons à réguler toutes les constantes, connues et inconnues, qui régissent notre cycle de vie.
Nous ne sommes qu’au début de ce combat et de ces recherches techniques. En régulant les constantes visibles et invisibles, ressenties ou pas, on pourra déjà s’habituer au développement de ce cycle de vie qui pourrait être réellement très long.
Toutefois, si notre orgueil et notre imbécilité font que nous ne respecterons pas totalement nos constantes. Il s’en suivra une mort prématurée.
Aujourd’hui, atteindre, 150, 180 ans et, probablement demain bien au-delà, n’est plus un tabou mais une possibilité. Cette durée de vie deviendra un souhait à partir du moment où on la rendra paradisiaque.
L’état actuel des techniques permet de doubler ce cycle sans difficulté. Vous allez me dire : « et pourquoi pas davantage ? «, parce que nous sommes des incompétents qui ne cherchons guère à développer la durée de notre vie.
Sauver le climat
Le climat et la vie ont tous deux des sources et des causes mais aussi des solutions.
Réguler la nature n’est pas une petite affaire. Il faudra s’attacher à cultiver les déserts. Cette régulation, chez chacun et pour chacun, est nécessaire à la vie de chacun.
Cultiver les déserts aujourd’hui n’est plus un problème technique. Engendrer une nouvelle durée de vie n’est plus un problème technique, faut-il encore le vouloir, faut-il encore s’y atteler.
Pour les déserts, c’est le rôle des ingénieurs agronomes qui pourront créer des oasis dans tous les déserts. Pour notre vie, c’est le rôle des ingénieurs techniques qui mettront en place, avec des architectes, des habitats conçus différemment pour réguler les constantes de la vie.
C’est tout un bouleversement qu’il va falloir réaliser.
La nature a ses réserves, nos cellules ont leur réserve. Mais, attention : à force d’épuiser les réserves, elles ne se reconstituent plus suffisamment. Le mieux encore est d’éviter que les réserves ne se réduisent.
Oui, ce seront des investissements nécessaires mais si peu coûteux au regard des profits qui peuvent en être faits. Impossible n’est pas français. Mais, là encore, accepte-t-on de prendre les belles autoroutes qui nous conduiront à un autre cycle de vie ?
C’est ce à quoi je vais m’attacher en prenant tous les moyens qui sont à notre disposition.