Sans orgueil, je suis le seul au monde à avoir trouvé la cause et inventé la machine qui ose mettre fin aux effets des variations de pressions atmosphériques.
Ils troublent notre corps, notre sommeil, notre système immunitaire.
Au-delà des désagréments de santé, il y a des maladies qui mettent en cause notre durée de vie. Il y a des maladies que l’on soigne sans en connaître la cause.
Il y a Hygée le régulateur qui met fin à ces causes.
La nature nous prête la vie pour 83 ans en moyenne en France et pour 50 ans dans d’autres pays.
Drôle de prêt, n’est-ce pas, que d’être tributaire d’une nature désinvolte ?
Ce n’est pas cela la liberté.
La nature a sa bombe atomique et s’en sert comme si elle craignait l’homme.
Pour qu’il vive, elle lui met des conditions, tant dans la qualité de la vie que dans sa durée.
Elle impose de réguler les dérives des constantes sur lesquelles repose la vie et qui ébranlent, tous les jours un peu plus, l’édifice de notre corps.
A nous, à l’homme, d’en prendre les moyens.
L’homme peut vivre longtemps en pleine forme.
Hygée le régulateur mettra fin aux tempêtes qui anéantissent l’homme.
Je ne me fais aucune illusion. Je connais les conditions d’une découverte.
Arthur Schopenhauer écrivait :
« la vérité franchit toujours trois étapes,
– d’abord, elle est ridiculisée
– ensuite, elle subit une forte opposition
– enfin, elle est reconnue comme ayant toujours été une évidence. ».
Tous les grands combats nécessitent un peu de temps et de forces physiques et financières. L’objectif mérite bien ce combat.
Conduire l’humanité dans un nouveau monde n’est pas chose facile mais nécessaire.
Nous aurons régulé une bombe naturelle qui plane au-dessus de nos têtes comme un aigle au-dessus de sa proie.
L’égalité homme/femme doit être aussi…
Il y a une telle interprétation de la loi entre un homme et une femme qu’il me semblerait juste que les tribunaux soient composés à égalité d’hommes et de femmes et ce, dans tous les tribunaux.
Je suis bien placé pour en parler.
J’ai subi 1 752 procès dans mes combats pour la liberté.
Je peux dire que les décisions auraient été différentes si les tribunaux avaient été composés à égalité de femmes et d’hommes.
La justice n’est que l’application d’un texte et son application peut vraiment être différente selon l’homme et la femme.
Les combats que j’ai menés étaient des combats sociétaux.
Ils nécessitaient l’application du bon sens et non celui d’un intérêt quelconque.
La loi doit interpréter les textes selon le contexte et doivent évoluer dans le même sens que la civilisation.
Il y a des milliers de textes qui ne sont plus conformes à notre civilisation et sur le droit de chacun à une justice équitable.
Le droit napoléonien ne peut être celui d’aujourd’hui.
Là encore, le point de vue de l’homme et de la femme peut être différent, ne serait-ce que dans l’égalité de l’homme et de la femme.
C’est pourquoi je demande que les tribunaux soient composés à égalité d’hommes et de femmes.