Tous les pays du monde se préparent à une crise économique et financière de la dette proche d’un tsunami. Cette crise serait due à un endettement excessif de tous les pays au niveau mondial.
Le mur de la dette pour 2020
Les
pays qui n’auront pas mis au point leur mécanique de financement social auront beaucoup
de mal à se relever et nous aurons, dans beaucoup de pays, une récession
brutale.
Tout
ceci est prévu dans l’année 2020.
Ceci
fera l’affaire de la Chine et même de la Russie. La France, si le bon sens se
fait jour dans les tout prochains mois, pourra commencer à essuyer la dette qui
aujourd’hui est de 2 400 milliards d’euros et qui continue à progresser.
Ne
nous y trompons pas : il serait inconscient de ne pas s’y préparer par des
décisions fortes et même très fortes,
qu’elles plaisent ou pas.
L’année
2020 pourrait être l’une des plus mauvaises années de notre économie, même la
Banque Mondiale s’y prépare.
Vivre sur le crédit qui atteindra plus de 90% de notre PIB, ne sera pas éternel. Une fuite en avant ne permettra pas tout.
Pour le quotidien des français
On
pourrait avoir des jours difficiles à vivre. Si cette crise conduit à une
dévaluation massive mondiale, le portefeuille des Français et d’autres pays
européens, pourrait s’amenuiser brutalement.
Le
grand capital recevra aussi un choc mais s’en sortira, comme d’habitude, compte
tenu de la dispersion de ses outils de production. Ses finances sont réparties
sur l’ensemble du monde.
L’épargne,
comme d’habitude, sera la plus touchée. Il n’est pas très bon d’épargner, pour
l’instant. Il vaut mieux acheter l’essentiel.
Les
réserves financières risquent de fondre comme neige au soleil. Mais ce ne sera
pas non plus la fin du monde, mais il sera toutefois bien écorné.
C’est
ma vision des affaires mais c’est aussi celle de la Banque Mondiale.
Un impact fort dans le secteur funéraire
Le seul avantage de tout ceci sera la baisse des dettes. Une dévaluation est un outil qui a de lourdes conséquences sur les réserves financières et sur l’épargne. Des contrats, tels que les contrats pré-obsèques, subiront les mêmes secousses rendant difficiles leurs réalisations, le jour venu.
En
revanche, l’économie ou ce qui en restera, repartira comme après chaque
dévaluation. Seuls, les pays qui s’y seront préparés, émergeront et tout
spécialement sur le plan social.
Le
travail doit être rapidement libéré, ce sera notre bouée de sauvetage car la
France sait travailler, sait innover, sait être concurrentielle : ce que
nous avons oublié depuis une dizaine d’années et qui nous a valu la perte de
notre industrie.
Ce
n’est pas le moment de vendre quoi que ce soit, y compris pour boucher des
trous. L’actif restera toujours une valeur, y compris dans l’immobilier.
Nous devons, de toute urgence, et notre Président le sait, mais il lui faudra beaucoup de courage, briser les chaînes qui entravent notre économie et surtout le travail.
Michel Leclerc