La campagne présidentielle avait pris la place de l’épidémie dans les médias. Aujourd’hui, c’est la guerre qui prend la place de la présidentielle.
La drogue politique avait remplacé le vaccin de l’épidémie. Aujourd’hui, ce sont les armes qui prennent la place des palabres. Et pourtant, il y a toujours 250 morts par jour par la pandémie ; on en est à six millions de morts dans le monde. Combien de morts va donc faire la guerre ?
Les politiques sont toujours à l’abri de la guerre ; c’est le peuple qui paie l’addition. La trahison, les mensonges, les bannissements que nous venons de voir, tant pendant la pandémie que pendant la présidentielle, éclatent au grand jour par les mensonges et l’orgueil d’un seul homme, Monsieur Poutine.
Et là encore, aussi curieux que cela paraisse, c’est un pays de sans-rien qui veut écraser l’Occident, un pays qui n’a que des armes de pacotille. Les armes qui sont utilisées aujourd’hui sont des armes de musée, dangereuses, certes, mais dont on possède les moyens pour les détruire. On ne pourra jamais conquérir le peuple russe par les armes et encore moins ce peuple de sans-rien.
L’Ukraine est un pays riche ; elle va se défendre et on va lui donner ce qui est nécessaire pour se défendre.
L’Europe ne peut, en aucun cas, laisser mourir l’Ukraine au profit d’un seul homme, Monsieur Poutine.
Tout ceci me rappelle les accords de Munich ; après des palabres de plusieurs semaines, l’Allemagne n’a pas hésité à s’accaparer l’Autriche et à faire la guerre à toute l’Europe.
Grâce à la France, Poutine ne peut pas s’attaquer à l’Europe de l’OTAN car il sait ce qui l’attendrait dans ce cas.
Ce qui nous a sauvés en 1945, ce sont de nouvelles technologies et de nouvelles armes. Aujourd’hui, nous avons de nouvelles armes, il faut les utiliser sans s’inquiéter du reste.
Poutine est un homme qui ne connaît que la force et la haine.
Ce n’est pas spécialement un homme courageux. Il faut donc l’attaquer sur son point sensible.
En France, pendant ce temps, la présidentielle est mise sous le boisseau ; personne ne peut savoir aujourd’hui ce qu’il en sera après le 3 mars. Et la guerre est en train d’étouffer notre système démocratique.
La peur n’a jamais évité le danger et je reprendrai les termes du Pape Jean-Paul II : n’ayez pas peur !
Les sans-rien maliens ont fait fuir l’armée française
Il est curieux, tout de même, qu’un pays comme le Mali où 90% des gens sont des sans-rien, ait réussi à mettre en déroute l’armée française.
Et aujourd’hui, c’est 50% de sans-rien russes qui veulent défier l’Europe, parce qu’ils ont faim.
Monsieur Macron essaie de réparer, aujourd’hui, ses erreurs verbales mais c’est un peu tard, il se fait jeter de partout. Il faut vraiment redonner à la France un nouveau chef. C’est peut-être aussi les sans-rien français qui mettront un terme au pouvoir de Monsieur Macron ; nous le saurons