Non, je ne veux pas mourir à l’hôpital, et si cela doit arriver, je veux mourir au milieu des miens.
J’ai donc décidé de me battre seul pour trouver le bienfondé de mes dires et conserver la vie.
Ceci est valable pour le virus comme pour le cancer.
Je veux m’appliquer à moi-même mes solutions naturelles et techniques, sans chimie, sans effets secondaires. Je parviendrai ainsi à prouver le bienfondé de mes dires et de mes propositions.
Pour le virus : c’est respirer de l’oxygène à 35 ou 40 °. C’est déjà fait pour moi. Ceci empêchera le développement du virus si par hasard je l’attrapais.
Pour le cancer, c’est le régulateur des variations de pressions atmosphériques par un simple régulateur de pression, dans ma chambre, toutes les nuits, sans inconvénients, sans effets secondaires, sans médicaments.
Ce sera pendant mon sommeil et je dormirai très bien. Tout ceci, dans le but de laisser vivre mes cellules qui sont fréquemment privées d’oxygène par l‘action des variations de pressions atmosphériques.
Le bon sens est difficile à imposer. J’ai donc décidé de le prouver et je suis convaincu d’être suivi rapidement par des millions d’humains.
Sauver sa vie en sauvant son système immunitaire, en protégeant sa circulation sanguine, est mon objectif. Vivre mieux et plus longtemps en pleine forme tout en conservant le bonheur de vivre sans maladie, et d’être aussi en pleine forme au travail.
La nature et la défense naturelle, parfois aidée mécaniquement, me donneront raison.
De toute manière, que me propose-t-on aujourd’hui, tant pour le cancer que pour le virus ? A mon âge, c’est de mourir. Alors j’ai décidé, et c’est ma volonté, d’appliquer mes solutions à moi-même.
La vie m’a appris que pour casser les monopoles, j’avais dû le prouver moi-même, tant pour les pompes funèbres que pour la liberté de l’automobile ou de la vente des carburants.
En fait, pour convaincre, rien de mieux que le bienfondé de mes dires et les solutions que je propose. Je n’ai rien à perdre : c’est vivre ou mourir.