Il est préférable de mourir aujourd’hui dans l’honneur et pour la liberté que de mourir demain dans la honte de l’asservissement et du chantage.
Certes, il faut du courage ; nous n’avons pas droit à la lâcheté. De grâce : pas de demi-mesures.
Cette victoire sera pour l’humanité toute entière ; à un moment donné, il faut avoir le courage de détruire le diable. Lui dire non ne suffira pas : il faut le tuer. Nous gagnerons, non pas parce que nous sommes les meilleurs, mais parce que nous sauverons la liberté. Il faut savoir dire non, c’est la seule issue.
Il y a de cela quelques jours, beaucoup d’entre nous ont constaté des problèmes au niveau de leur ordinateur. De nombreuses éoliennes sont tombées en panne. Il faudrait quand même se poser la question s’il n’est pas possible de paralyser tous les systèmes informatiques et de téléguidage de la Russie. On a bien réussi déjà à paralyser les services informatiques du Pentagone. Alors, c’est le moment pour les Anonymous de défendre la liberté du monde. Les attaques cybernétiques ne sont dangereuses que quand elles sont méconnues ; elles ne présentent aucun danger quand elles sont prévues.
L’heure est venue de prendre des décisions. Il y a quelques jours, une centrale nucléaire a été attaquée : n’attendons pas d’aller plus loin.
C’est à nous à présent, c’est à l’Occident, en accord avec ceux qui en sont capables, de paralyser les systèmes informatiques, d’agir et de détruire la totalité du système nucléaire russe et toutes les installations pétrolières sans qu’ils puissent réagir. En paralysant tous les systèmes informatiques, nous bloquons tout risque de réponse à une attaque nucléaire. Les fusées, les avions russes, seront paralysés au sol.
Quant aux sous-marins, il n’y a pas un seul commandant qui aura la volonté de faire fonctionner leurs fusées car, elles aussi, seront paralysées dès leur sortie de l’eau et leur système de téléguidage le sera aussi. On pourra même dévier leur trajectoire contre eux-mêmes.
Ceci nécessite un plan précis et surtout courageux parce qu’il peut comporter des risques mais qui seront limités. C’est la guerre ; il peut y avoir des dégâts collatéraux mais il vaut mieux en arriver là que de mourir asservi.
Pendant qu’il est encore temps
Il faut que toutes nos usines construisent du matériel militaire et des munitions avant qu’elles ne soient elles-mêmes paralysées, un jour ou l’autre.
Il est nécessaire de construire des SMR (mini-centrales nucléaires) en urgence car nous venons de constater que les EPR (grandes centrales nucléaires) peuvent être paralysées en très peu de temps.
Oui, il faut accélérer la construction des vecteurs d’ogives nucléaires. Il faut se montrer à la hauteur des enjeux de la guerre et ce, quoi qu’il en coûte.
Oui, il faut prendre par traîtrise un dictateur qui n’hésite pas à utiliser des moyens détournés. Le Poutine d’aujourd’hui, c’est l’Hitler d’hier avec les mêmes ambitions. Il faut se poser une question : les États-Unis souhaiteraient-ils la fin de l’Europe ?, leur attitude aujourd’hui semble le montrer.
Quand on dit qu’une guerre nucléaire supprimera la planète, c’est faux.
En revanche, il ne faut pas que nos dirigeants aient une main qui tremble. Hiroshima et Nagasaki ont été détruites par surprise ; c’est l’heure de montrer qu’on ne laissera jamais un nouveau dictateur détruire l’Europe.
L’Europe unie d’aujourd’hui est une force considérable, et si un jour les États-Unis décidaient de nous rejoindre au lieu de nous détruire, ils ne viendraient que si l’Europe est forte et par crainte d’être détruits eux-mêmes, car, en 1944, les Américains ne sont pas venus chez nous pour nous protéger mais simplement pour se protéger eux-mêmes et ils ont mis fin à la perte des bateaux que les sous-marins allemands de l’époque coulaient tous les jours.
Le bon cœur existe dans une famille, il n’existe plus quand c’est la loi de l’argent qui parle.