Il est mort il avait 80 ans, ce n’est pas grave. Il n’était plus utile à l’appareil productif de l’Etat.
Sommes-nous arrivés à nous habituer à la vieillesse et à la mort ? Qu’a fait la médecine pour réduire, voire supprimer, la vieillesse ? Ce n’est pas l’âge qui est un problème, c’est qu’en fait, on vieillisse tous les jours.
Chercher à comprendre le pourquoi de cette situation que l’on va appeler le troisième âge, ou le quatrième âge qui vie dans l’antichambre de la mort, s’est-on seulement poser la question ? On aurait pu peut-être éviter ce naufrage.
Il semble que cette situation inquiète beaucoup de monde depuis les politiques en passant par les familles à qui cela coûtera cher. Mais c’est faux : le troisième âge est celui qui dépense le plus, qui consomme le plus, avec l’argent des retraites.
Certes, les 80 ans ne produisent plus, ou si peu, mais ils consomment. Les héritages ont peut-être provoqué cette situation. Une chose est certaine, on ne fait rien pour éviter d’amener ce naufrage.
La médecine estime que l’on doit mourir un jour mais elle ne dit jamais à quelle date. Et ce naufrage a une cause que l’on connaît bien ; on a la solution, mais a-t-on le désir de protéger.
Il est vieux, il radote, ses mains tremblent, ses mouvements sont difficiles. On l’appelle pour savoir s’il est encore vivant… en l’incitant d’ailleurs à faire un contrat préobsèques pour que les enfants n’aient rien à payer.
Mais dans quelle civilisation sommes-nous ? La vieillesse arrive parce qu’on n’a pas pris le soin de se protéger. On n’a rien fait pour défendre son système immunitaire, on n’a rien fait pour se protéger des phénomènes extérieurs. On préfère les subir. On vient de le voir dans le cas du Cocid-19 : c’est le système immunitaire qui a fait défaut.
Et là encore, le système immunitaire a ses règles. Il ne doit être ni trop fort, ni trop faible. Il ne doit pas sortir du cadre naturel dans lequel il est né.
Tout au long des ans, l’être humain subit des actions contre nature et, à chaque fois, le système circulatoire, qui sont des autoroutes, et qui alimente toutes les petites routes départementales et vicinales, se trouve bloqué. L’échange ne se fait plus. Si le cœur envoie du sang, il ne revient plus normalement et la pompe s’épuise.
La vieillesse n’arrive pas par hasard, elle vient par la destruction systématique du fonctionnement naturel de la circulation sanguine. Bien évidemment, il peut y avoir des accidents qui auraient pu être évités, bien souvent, provoqués par soi-même ou par les autres. Qu’a-t-on fait pour s’en protéger.
Quand on meurt du cancer, ce n’est pas par hasard. Il y a des raisons précises, il y a une cause, que l’on ne connaissait peut-être pas hier, mais que ‘on connaît aujourd’hui et pourtant, la médecine en doute comme elle doute de tout ce qui peut être fait en dehors du cadre médical.
Les forces de la nature, que ce soit les pressions atmosphériques ou la naissance de virus, doivent entraîner, soit une protection, soit une régulation. Ces maladies-là ont un chemin : il n’arrive pas par hasard.
Il y a deux solutions et deux cas précis. Ils proviennent, soit de l’intérieur, soit de l’extérieur et même dans ce cas-là, la cause est provoquée par un phénomène extérieur.
Non, la vieillesse n’est pas naturelle. On ne s’est pas protégé, on n’a pas régulé les forces de la nature. Mais toutes les solutions que je propose vont à l’encontre des fonds de commerce des laboratoires et de la communauté scientifique.
Faire vivre en pleine forme les gens jusqu’à 120, 130, voire 150 ans, ne semble pas être dans les tablettes, ni des politiques, ni dans la communauté scientifique. Cela provoquerait probablement plus de désavantages que d’avantages.
Notre corps est une mécanique qu’il faudrait revoir et réviser tous les quatre ou cinq ans et ce, obligatoirement, comme on oblige a des contrôles obligatoires et techniques de sa voiture, tous les trois ans.
En fait, on ne prend pas soin de soi et la conséquence est la vieillesse.