Être à l’offensive ou à la défensive ? Être le chasseur de l’invisible et rester indemne, ou subir l’invisible et mourir ? Il faudra choisir, et ce choix nécessite d’avoir des cartouches qui tuent l’occupant avant de le subir. Ces cartouches, nous les avons. Le vaccin, peut-être mais il intervient après. Éradiquer le virus, c’est avant.
Nous n’avons jamais le besoin de subir et encore moins de « vivre avec ».
Le vaccin peut peut-être protéger à condition de le renouveler chaque année. Et encore, sommes-nous certains que la mutation des virus que l’on appelle des variants n’entraînera pas la nécessité d’une nouvelle protection ?
Ce que je propose, ce n’est pas de subir, c’est de tuer le virus avant qu’il n’atteigne l’homme. Les cartouches nécessaires ne sont que les rayons ultraviolets, pour ce qui est des virus, et des moyens mécaniques, tels que les régulateurs de pressions atmosphériques, pour éviter les cancers et même les détruire quand on en est déjà atteint.
C’est comme tout, pour pouvoir vivre, il faut un plan, une stratégie, des moyens d’attaque pour riposter.
Et aussi des plans pour construire des moyens techniques tels que des régulateurs de pression. Ils nous permettront de vivre au-delà de nos espérances actuelles, et en pleine forme.
La vieillesse n’existera plus. Les maladies d’Alzheimer, de Parkinson, n’existeront plus ainsi que les multiples cancers qui ravagent la population actuellement.
Tout être humain perd, chaque année, 1% de son immunité en raison des pressions atmosphériques. Elles détruisent les cellules, faute d’oxygène. Cette pression invisible est un désastre pour notre vie.
A présent, il va falloir changer tout le système. Un système qui a pour but, selon Hippocrate, de protéger la vie.
Pour éviter de perdre son immunité, c’est dès la naissance qu’il faut se protéger de la cause qui va la détruire. Oui, nous vivrons beaucoup plus longtemps et nous ne subirons plus le déchaînement des virus. Ceci a coûté à la nation plus de 100 000 morts et plus de 1 000 milliards d’euros, rien que pour la France.
En un mot, nous allons vers un nouveau monde, un nouveau monde qui apportera davantage de bonheur.
LA MORT SUBITE DES NOURRISSONS
A ce jour, personne n’est parvenu à en déterminer la cause.
Les nourrissons meurent sans que l’on sache précisément pourquoi, ni à quel moment.
Ceci est vraiment terrible pour une maman qui vient de le mettre au monde, elle ne saura jamais pourquoi ; il est reparti dans le mondes des anges.
On nous dit que nous sommes égaux à la naissance : c’est faux, pour des raisons multiples. Notre cœur et notre système immunitaire peuvent être très affaiblis et ce, sans que l’on s’en rende compte. La puissance mécanique d’un cœur peut varier à la naissance de un à trois selon le géniteur et selon les phénomènes encourus pendant la grossesse.
Pourquoi ce petit cœur va-t-il s’arrêter brutalement subitement. Dire que le bébé a oublié de respirer est un peu facile. Alors, pourquoi ?
Un bébé naît avec une constitution osseuse constituée de cartilages extrêmement fragiles et encore plus fragiles pour certains que pour d’autres.
La moindre pression sur ce corps peut lui être fatale.
C’est ce qui arrive quand, à un moment donné, cet enfant est soumis à des surpressions provenant des variations des pressions atmosphériques. Il ne parvient pas à compenser ces pressions. Ses vaisseaux sanguins sont si petits que la pression supplémentaire qui lui est infligée peut bloquer la totalité de sa circulation sanguine.
Il faut savoir, tout de même, que la pression engendrée par les variations des pressions atmosphériques est, pour un petit enfant, de l’ordre de 500 kilos. Invisible en apparence mais bien réelle.
Alors, que faire pour éviter cette mort subite ?
Il sera nécessaire que ces nourrissons soient à l’abri de ces pressions atmosphériques en les maintenant à une pression continue de 1013 millibars.
Encore une idée farfelue de Michel Leclerc ? Peut-être pas si farfelue qu’on veut bien le dire. En tous cas, il faudra me prouver le contraire. Je demande, dès à présent, que dans toutes les maternités il y ait des locaux maintenus à cette pression de 1013 millibars. Ce dispositif devra aussi être installé dans les espaces où va vivre cet enfant. Comme il est difficile de savoir lequel arrive au monde avec un cœur affaibli et une ossature quasiment inexistante il faut que ce dispositif soit mis en place pour tous les nouveau-nés.
Il faut quand-même savoir que, chaque année, sur 720 000 naissances, il y a plus de 500 morts subites du nourrisson.
A un moment où la natalité est en chute libre, en France, ne serait-il pas utile de protéger au moins ceux qui naissent ?