En deux ans, il y a eu 7 880 000 cas de contamination avérés.
En un an, on a créé les conditions pour qu’il y ait cette année 30 000 000 de cas par une prétendue vaccination.
Vaccination qui a ouvert les portes au virus, par une liberté prétendue, liberté offerte aux Français.
En vaccinant, on a ouvert le portail de la pandémie. On a refusé de prendre le chemin de l’offensive et on s’est contenté d’accepter que le virus puisse continuer à circuler à son gré.
Il est plus que temps d’éradiquer le virus avant qu’il ne soit trop tard, par des moyens que nous connaissons fort bien et qui sont l’ultraviolet et les épurateurs d’air.
C’est mathématique : pour supprimer un rayon, il faut qu’il soit superposé par un autre rayon plus puissant, et un virus sans rayonnement meurt. On pourrait se trouver dans une situation dramatique au niveau des hôpitaux.
Les scientifiques nous ont trompé, la potion qu’on a injectée n’est pas un vaccin. Ils l’ont fait croire aux politiques et les politiques l’on fait croire aux citoyens. Ce sera probablement le plus grand scandale de l’humanité. On aura rempli la tirelire de quelques-uns pour endetter les autres.
Aujourd’hui, nous en sommes à 119 000 morts. L’OMS prévoit 300 000 morts de plus en Europe.
Elle a même peut-être sous-estimé les choses. L’OMS s’est aussi bien trompée depuis deux ans. Sans compter que sauver quelques-uns de la mort n’empêchera pas l’ensemble des personnes contaminées ou soignées de conserver des séquelles.
Il nous faut prendre le chemin de l’offensive.
Un vaccin n’est efficace que s’il entraîne l’immunité pour plusieurs années ; aujourd’hui, ce n’est pas un vaccin. On annonce pour d’ici quelques jours, l’arrivée un cachet, une pilule miracle qui empêchera le virus de pénétrer d.ans le corps humain. Tout cela n’est encore qu’une éventualité. Et on arrive aussi au résultat d’empêcher le virus d’atteindre le corps humain en l’arrêtant dès son apparition dans le nez de l’homme.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes ; le calcul quantique a fait son chemin. On a démontré qu’on pouvait supprimer le rayonnement des déchets nucléaires par des rayons lasers. Il en sera de même pour le virus qui, entre nous, fera bien plus de dégâts que le nucléaire.
Neutraliser le virus, l’éradiquer, est la seule solution offensive et définitive si l’on veut, une fois pour toutes supprimer la pandémie.