Qu’est-ce qui détruit l’homme ?
- La nature, par sa face nocive, destructrice, sans régulation
- L’orgueil, la vanité
- La critique sans solution proposée
- L’incrédulité
- L’absence de bon sens
- Une vieillesse sacrifiée, détruite, à l’écart de la société
- L’argent-roi et spéculatif entaché de cupidité
- Une mortalité acceptée à 85 ans en moyenne
- Les conséquences d’un médical qui refuse la recherche des causes et les solutions naturelles
- La destruction de notre système immunitaire sans chercher à en détruire les causes.
Qu’est-ce qui fait vivre l’homme ?
- La nature, par sa face vitale, productrice d’oxygène
- Le travail : un travail productif et libéré de charges sociales
- Le savoir couplé avec une forme d’intelligence et de synthèse
- Un futur aux frontières de l’infini
- L’évidence qui devient automatique après les découvertes
- L’humilité conquérante
- Le bonheur de vivre et de pouvoir vivre plus longtemps et en pleine forme, toute sa vie durant
- L’espérance d’un futur merveilleux en cherchant et en trouvant le pourquoi des bienfaits de la nature
- Une vie plus longue au-delà des 150 ans ; rien ne l’interdit à présent si ce n’est l’incrédulité d’une intelligentsia.
Détruire et construire : un duel permanent qu’il nous faut gagner.
Un fusil à deux coups
En gagnant la bataille contre le cancer et les grandes maladies, on gagne aussi, automatiquement, mathématiquement, la bataille contre les virus. Pourquoi ?
La bataille contre le cancer, par la régulation des pressions atmosphériques, a pour effet de redonner à l’homme sa puissance immunitaire originelle. Aujourd’hui, on essaie de compléter cette défection par des injections répétitives tous les trois moins.
Un virus ne se développe que s’il n’y a pas de gendarme pour interdire son développement. La médecine d’aujourd’hui ne s’attaque pas aux virus. Elle souhaite simplement qu’il vive le plus longtemps possible pour remplir les caisses des laboratoires.
On sait que le système immunitaire s’affaiblit de 1% l’an pour arriver à zéro à 100 ans. Tant que l’on n’aura pas compris et voulu mettre fin à ce cycle, rien ne sera possible. Tant que l’on n’aura pas voulu remplacer le provisoire par le définitif, l’homme sera en danger en permanence.
Ce que je propose, dans le cadre de la suppression des cancers et des virus, c’est d’éviter que, chaque année, on ne perde 1% de notre système immunitaire et ce, d’une manière naturelle. Il nous faut combattre les éléments qui sont la cause de cette destruction.
Alors, je suis allé à la source pour faire en sorte qu’il n’y ait plus de destruction systématique. On se demande d’ailleurs comment le corps peut résister à tant d’attaques et j’ajouterai : pourquoi on laisse faire ? Pourquoi on laisse cette guerre se perpétrer dans notre corps.
Aujourd’hui, nous savons comment éradiquer les virus, nous savons comment on peut empêcher la construction des cancers et on ne veut pas le faire. C’est tout de même navrant qu’on fasse passer l’argent avant la vie.
Ce fusil à deux coups, nous l’avons, il nous appartient de l’utiliser. Ce que je propose ne nécessite aucune autorisation de quelque nature que ce soit pour être appliqué, parce qu’il est la solution du bon sens et dans l’intérêt général.
Comment peut-on refuser d’être en pleine forme toute sa vie alors qu’avec un petit mécanisme de la dimension d’une boîte d’allumettes, on peut enlever le grain de sable qui enraie le fonctionnement du mécanisme de l’être humain ?
Est-ce que c’est parce que ce mécanisme combat l’invisible alors qu’il suffirait de l’utiliser pendant son sommeil, aidant le corps à conserver son système immunitaire originel ? Ce n’est pas plus compliqué que cela.