Beaucoup de crises pour un seul homme mais toutes ces crises ont un dénominateur commun : l’absence de bon sens.
La crise sanitaire se résoudra, pour l’instant, par la protection et non par l’hôpital qui soigne.
La crise écologique, c’est à l’évidence la réduction des déserts par le reboisement, par la remise en culture.
La crise sociale se résoudra par la résolution de la crise économique, par l’accroissement de 20 % du pouvoir d’achat suite au transfert des charges sociales sur le budget de l’Etat.
La crise économique est un problème de coût de production, une production qui se doit d’être compétitive par le bon sens, par l’Etat qui protège, par l’entreprise qui produit, libérée des charges, et qui exporte massivement. Cette libération des charges engendrera une baisse des prix de 15 à 20 %.
La crise sanitaire, c’est de reconstituer notre défense immunitaire en évitant les virus, les cancers, les grandes maladies, et nous savons le faire en cassant les tabous et le monopole médical qui cause souvent l’impossibilité pour les médecins de remplir le serment d’Hippocrate, serment qui a pour but de sauver les vies.
Nous oublierons aujourd’hui les 30 000 morts qui auraient pu être évités car on n’a rien fait pour les éviter. On a tué des Français par une erreur médicale.
La crise écologique est encore un problème de bon sens. On la supprimera en éradiquant la cause car il faut savoir que les déserts se développent à raison de 18 m2 à la seconde.
A tout cela, on ajoutera l’utilisation de l’hydrogène en remplacement des hydrocarbures. Ceci nécessitera de mettre à terre les lobbies pétroliers mais aussi les avantages de l’Etat qui se sert des taxes sur les hydrocarbures.
La crise sociale, le chômage, le pouvoir d’achat, seront résolus automatiquement par la résolution de la crise économique. Celle-ci peut se résoudre par une simple ordonnance transférant les charges sociales et les retraites sur le budget de l’Etat.
Tout ceci nécessite une augmentation de la CSG et de la TVA, ne serait-ce que pour une période de moins de 10 ans, le temps nécessaire pour reconstruire le tissu industriel de la France et pour apporter aux petites et moyennes entreprises la possibilité de pratiquer des prix compétitifs afin de renforcer massivement l’exportation.
Tout ce chambardement nécessitera aussi une réforme de nos ambassades dans tous les pays du monde en y ajoutant un secteur commercial digne de ce nom, au service des petites et moyennes entreprises. L’ambassade doit être le facilitateur économique et linguistique de nos petites et moyennes entreprises.
Il faut que le bon sens prime sur tous les tabous, sur les habitudes, sur les monopoles qui sont la lèpre de notre économie.
Mais il faut se rappeler qu’il n’y aura jamais de bonnes économies sans une bonne santé de notre peuple. La France peut économiser 200 milliards chaque année et gagner 200 milliards de plus grâce à un travail en pleine forme et à l’éradication des causes du cancer et des grandes maladies.
A présent, la paix ne viendra pas des armes mais d’une économie fondée sur la pleine forme de notre peuple. La paix par la vie, la paix en permettant à tous de survivre longtemps et en pleine forme.