On se félicite, on se complimente, d’avoir peut-être sauvé 60 000 vies, mais 30 000 morts ne suffisent-il pas pour faire un constat d’échec ? On n’a rien fait pour les sauver. On s’est contenté d’appliquer de vieilles méthodes en espérant qu’il y aurait un résultat, et ce résultat n’est pas venu.
On savait ce qu’il fallait faire, on savait que le virus mourait à 60 °mais le monopole a couvert d’une épaisse couche tout ce qui pouvait sauver. Comment peut-on se glorifier qu’il n’y ait pas eu davantage de morts !
N’est-ce pas l’Etat qui a protégé ce monopole. Il s’en sert même comme conseiller ! C‘est invraisemblable mais vrai, et demain, que fera-t-on quand arrivera la grippe ? Je ferai le pari que l’on ne fera rien. Comme d’habitude, on a pris l’habitude de la grippe.
Il faut arrêter les dictats, relever les incompétences et peut-être abandonner toutes nos habitudes. Il faut redonner au médecin la possibilité d’exercer son métier. Il faut que l’ordre des Médecins et l’OMS reconnaissent qu’ils se sont trompés.
Quelle trahison ! On a voulu, une fois de plus, faire de l’argent avec la vie. Mais ils sont condamnables, ils savent qu’on pouvait faire autrement ou alors, il faut qu’ils retournent à l’école du bon sens.
Il est trop facile de compter les morts après la bataille. « Pas un seul mort » aurait dû être leur devise. Dans une bataille, un général doit protéger ses hommes et chaque fois qu’il y a un mort, c’est un échec.
Si, depuis longtemps, j’ai cassé les monopoles, ce n’était pas par plaisir, ce n’était pas par intérêt, mais simplement pour apporter aux citoyens un plus : la liberté.
Aujourd’hui, je demande à l’Etat de mettre en place tout ce que je propose pour sauver les vies. Que ce soit les régulateurs de pressions atmosphériques pour nous protéger du cancer. Que ce soit les couloirs sanitaires pour éviter une contagion dans le cas de virus. Il faut mettre des embuscades partout. La nature est merveilleuse mais elle a aussi ses excès et ses dérives.
Le monde a changé, la mondialisation s’est installée, les migrations sont devenues chose habituelle. On ne changera pas l’organisation du monde mais on pourra peut-être, si le bon sens gagne, éviter d’en mourir.
Tout ce qu’apporte le nouveau monde, ce sont des choses merveilleuses, des découvertes extraordinaires, mais si ce monde est le maillon qui conduit à la mort, alors il faut le réformer ou tout du moins réformer ceux qui prétendent savoir et qui ne savent pas grand-chose. Faute de savoir, on a installé des protocoles où l’on mélange tout, est-ce la solution ? En tous cas, ce n’est pas le résultat.
Il est vrai qu’il est difficile de comprendre qu’un croque-mort comme moi veuille sauver des vies. C’est cela être Leclerc avec son concept.